Benoit Costil : « Je ne m’en suis jamais caché. Si les gens pensent qu’ils vont faire dub buzz avec ça, ne vous inquiétez pas, je ne m’en cache pas, je l’assume » | OneFootball

« J’aimais cette vie rennaise où j’étais quelqu’un de normal. J’avais une vie sociale, je pouvais bouger à droite à gauche, les gens étaient toujours gentils. En fait, ils ne me calculaient même pas. Je faisais partie du décor ? C’est ce que j’aimais, j’avais trouvé le bon compromis entre le foot et la vie d’homme, comme Monsieur tout le monde. Ça, j’adorais ».

« On m’a vu partout à Rennes (rires). Je ne m’en suis jamais caché. Si les gens pensent qu’ils vont faire dub buzz avec ça, ne vous inquiétez pas, je ne m’en cache pas, je l’assume (sourire). La réputation de bon vivant ? Oui, je suis un bon vivant, mais surtout travailleur. Et ça, c’est important. Je bossais beaucoup, beaucoup, beaucoup. Et ça, voilà, il faut le dire quand même […] Après les matches, on ne rentrait pas chez nous, on allait faire un petit restau avec les amis, la famille, mes parents étaient là, on était une tablée de 20… Et puis voilà, on allait manger une pizza, on prenait un coup de vin rouge, et on rentrait chez nous. Ce n’était pas non plus tout le temps ‘pompélup’ comme tout le monde s’imagine ».

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