Laurent Brun : « Il y a un monde entre les deux équipes, mais ça reste les Girondins de Bordeaux » | OneFootball

Laurent Brun : « Il y a un monde entre les deux équipes, mais ça reste les Girondins de Bordeaux » | OneFootball

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·22. Dezember 2024

Laurent Brun : « Il y a un monde entre les deux équipes, mais ça reste les Girondins de Bordeaux »

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Pour Bordeaux Le Mag, le journaliste Laurent Brun, s’est projeté sur la rencontre de Coupe de France face à Rennes, et surtout les chances des Girondins de Bordeaux.

« Est-ce que Bordeaux peut rivaliser ? Si, il y a un monde entre les deux équipes, mais ça reste les Girondins de Bordeaux. Et ça, je suis sûr que les gens de Rennes, dans la causerie d’avant match, ou dans la préparation du match, vont dire que oui c’est de la quatrième division, mais qu’ils vont à Bordeaux quand même… Le stade va être chaud. Après, Bordeaux rivaliser, mais est-ce que ce sera 90 minutes, je ne sais pas. Ça dépend de la physionomie du match. S’ils arrivent à marquer très vite, pourquoi pas. Ça reste Bordeaux… Rennes devrait théoriquement l’emporter, maintenant c’est peut-être la seule fête qu’il y aura dans ce stade pour les Girondins de toute la saison. Il peut y avoir un match pour la montée qui peut être un événement aussi, mais d’un point de vue populaire, ça sera quelque chose d’important. Encore une fois si tout se passe bien, s’il n’y a pas de débordements… S’il y a du monde, si tout se passe bien, s’il y a l’ambiance que tout le monde sait mettre dans un stade, ça peut être une ambiance redoutable et pourquoi pas faire douter Rennes. Bordeaux, c’est Bordeaux, et c’est aussi le Petit Poucet, mais il y a de belles histoires, et pourquoi pas en écrire une très bientôt ».

La jauge est prévue pour environ 20000 spectateurs.


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« Oui, Bordeaux n’a pas forcément les moyens de faire une jauge plus importante, et il faut partager la recette aussi… Mais oui, c’est très compliqué. Il faut savoir que chaque couloir ouvert dans le stade, chaque tribune, c’est de l’argent en plus qu’il faut mettre. C’est pour ça que même nous, journalistes, nous sommes obligés de faire tout le tour du stade pour rentrer par une autre entrée que celle qui nous empruntions depuis 2015, car elle est fermée. Si elle doit ouvrir, cela veut dire qu’il faut un ou deux stadiers à l’entrée, il faut payer, rien n’est gratuit. Tout coûte très cher et les Girondins n’ont pas les moyens aujourd’hui de faire face à ça. C’est une réalité, et c’est logique ».

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