"On sent qu’il y a une âme" : Yannick Noah, figure du PSG en 1996, fan de Luis Enrique | OneFootball

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·20. Mai 2025

"On sent qu’il y a une âme" : Yannick Noah, figure du PSG en 1996, fan de Luis Enrique

Artikelbild:"On sent qu’il y a une âme" : Yannick Noah, figure du PSG en 1996, fan de Luis Enrique

Champion de tennis et chanteur, Yannick Noah avait accompagné le PSG lors de son premier sacre européen. À quelques jours de la finale face de Ligue des champions face à l'Inter Milan, il déclame son amour pour le groupe de Luis Enrique.

Yannick Noah est peut-être plus souvent associé à la terre battue de Roland-Garros qu’aux pelouses de Ligue des champions, mais quand il parle du PSG, c’est avec le cœur. Invité ce lundi sur RMC, l’ancien tennisman, fidèle supporter du club de la capitale, a exprimé son enthousiasme à l’approche de la finale de la Ligue des champions face à l’Inter Milan. Et surtout, son admiration sans réserve pour Luis Enrique. "Je kiffe l’entraîneur depuis le début, je l’adore", confie Noah. "J’aime beaucoup Luis Enrique, ce qu’il a mis en place. Ça a du sens, on le voit bien. Il y a une bonne atmosphère autour du club." Plus qu’un simple compliment, c’est un vrai plaidoyer en faveur du technicien espagnol, dont la deuxième saison à la tête du PSG a transformé le visage du club. "C’est notre équipe. Je trouve qu’ils ont un jeu vraiment plaisant", insiste Noah, visiblement conquis par le style et la philosophie instaurés cette saison.


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Noah, habitué de la tribune Borelli au Parc, dit ressentir une vraie différence cette saison, notamment dans les attitudes. "On sent qu’il y a une âme, une équipe, une camaraderie. Ça se voit quand il y a un but, lorsqu’ils parlent après les matchs. On sent bien qu’il y a un vrai groupe." Une perception que partagent bon nombre de supporters et observateurs. Ce PSG version Luis Enrique dégage une cohérence rare. Exit les individualités surdimensionnées mal connectées. Place à une vraie bande, jeune, perfectible, mais déjà redoutable. "Quand on voit certains matchs qu’ils ont faits, c’est quand même assez extraordinaire", s’enthousiasme l’ancien capitaine des Bleus en Coupe Davis.

Munich, un symbole

Le clin d’œil de l’histoire n’échappe pas non plus à Yannick Noah. "La dernière fois que j’étais à Munich, c’était avec Joakim sur les épaules, quand l’OM a gagné en 1993. C’est un bon signe. Ça veut dire qu’une équipe française va gagner", sourit-il, plein d’espoir. Et lui qui, en 1996, avait déjà été appelé à la rescousse pour remotiver les Parisiens avant leur victoire en Coupe des coupes, pourrait presque croire aux ondes positives. À l’époque, son intervention, demandée par les joueurs eux-mêmes, avait contribué à ressouder un vestiaire en crise. Aujourd’hui, il n’y a pas besoin de colmatage, seulement d’encouragements. Et dans ce rôle-là, Yannick Noah est toujours partant.

Yannick Noah avec le PSG en 1996 après la victoire en Coupe des vainqueurs de Coupe

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