Evect
·6 November 2024
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Aujourd'hui président du club d'Andrézieux, l'ancien stéphanois s'est exprimé au micro de "Foot Farid And Co" sur son rôle de président mais également sur ses années lyonnaises et stéphanoises. Extraits 👇
S’il y a bien un témoin privilégié de la rivalité entre l’ASSE et l’Olympique Lyonnais, c’est François Clerc. Joueur des Gones entre 2004 et 2010, il a ensuite porté le maillot vert pendant près de cinq saisons entre 2012 et 2016. Dans l’émission de Farid Rouas, Foot Farid And Co, le natif de Bourg-en-Bresse est revenu sur ses années lyonnaises et stéphanoises : "J'ai vécu de très bons moments à Lyon, c'était la grande période Lyonnaise, on avait une belle équipe, on jouait presque le titre en Champions League, on jouait les yeux dans les yeux avec les plus gros clubs d'Europe donc ça reste une très, très, bonne période. Ensuite, j'ai été blessé et je me suis relancé à Nice, puis le projet de Saint Etienne est venu. C'est vrai qu'au départ, on se pose toujours la question (ndlr, de passer de Lyon à Saint-Étienne), mais ça restait un beau projet, un club qui redevenait attractif, qui rejouait les premiers rôles en championnat. J'ai eu un très bon groupe à cette période-là, notamment sous les ordres de Christophe Galtier. On a fait de très belles saisons, on a gagné un titre (ndlr, la Coupe de la Ligue en 2012/2013), on jouait la Coupe d'Europe quasiment chaque année donc c'était vraiment un bon choix pour moi, pour ma carrière"
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L’ancien latéral des Verts et de l’OL en a profité pour également évoqué sa reconversion en tant que président de l’Andrézieux-Bouthéon Football Club : "Le foot a toujours été ma passion, j'ai toujours voulu continuer à évoluer dans le milieu du foot après ma carrière. J'ai eu cette opportunité lors de mon passage à Saint-Étienne de rencontrer des personnes qui faisaient partie du projet d'Andrézieux et qui m'ont demandé si cela m'intéresserait de donner un coup de main au club. J'ai dit pourquoi pas. Au départ, c'était plus pour avoir un rôle vraiment en lien avec le sportif et au fur à mesure des échanges, des réunions, les associés et actionnaires m'ont dit que cela pourrait être bien que je sois le président du club.
Au début, j'ai un peu hésité car cela reste un poste très important et c’était nouveau pour moi. Je me suis formé également en faisant le CDES de Limoges avec un diplôme universitaire de manager général sportif, ce qui m'a beaucoup aidé même si aujourd'hui je précise quand même que je partage la co-présidence avec Olivier De Lande. Présider un club est très difficile car c'est beaucoup de responsabilités, on doit avoir un regard à 360 degrés alors que quand on est joueur on se focalise uniquement sur le terrain. J'essaye de prendre le meilleur des présidents que j'ai côtoyé, Monsieur Rivère, Monsieur Aulas et Monsieur Romeyer."