Fabrice Abriel (PSG F) après l'élimination contre la Juve : "Une grosse déception" | OneFootball

L'entraîneur du Paris Saint-Germain féminin Fabrice Abriel a partagé sa déception après l'élimination de son équipe en barrage de Ligue des champions.

Ce n'est sûrement pas comme ça que Fabrice Abriel entrevoyait ses débuts sur le banc du Paris Saint-Germain féminin. Débarqué cet été en provenance du FC Fleury 91 pour succéder à Jocelyn Prêcheur, le technicien de 45 ans a déjà vécu sa première déception dans la capitale. Ce jeudi 26 septembre, son équipe n'est effectivement pas parvenue à renverser la vapeur en barrage retour de Ligue des champions. Une semaine après sa défaite de l'aller (1-3) en Italie, le PSG a de nouveau été battu par la Juventus Turin (1-2), coupant court aux ambitions européennes des vice-championnes de France.

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"On est au début de l'histoire"

"C'est une grosse déception de ne pas y être, a confirmé Fabrice Abriel après la rencontre. Sur les deux matchs, on n'a pas fait ce qu'il fallait pour y être. L'adversaire a tout bonnement très bien joué sa chance et mérite sa qualification. Donc félicitations à la Juve", a salué l'ancien joueur professionnel, qui n'a pas souhaité pour autant baisser les bras. "Nous, on a de grandes ambitions. On souhaitait figurer le plus haut possible dans trois compétitions : la Ligue des champions, le championnat et la Coupe de France. Il ne nous en reste plus que deux. On va se concentrer sur ça et se mettre au travail, même si c'est vrai que ça va être dur de bien récupérer dans ces conditions", a-t-il reconnu.

Mais "on sait qu'on est au début de l'histoire, a-t-il poursuivi. Ça fait deux mois qu'on travaille ensemble, qu'on a repris. Il reste encore beaucoup de temps à passer et on a des challenges à relever. Des challenges personnels, individuels, c'est ce qui motive aussi la joueuse pour aller s'entraîner, pour rebondir quand il y a une défaite. Et puis, continuer à mettre en place un travail et se mettre dans les meilleures conditions en fin de saison pour remporter le titre majeur. Et puis pourquoi pas la Coupe ? C'est dans ce sens-là qu'on va bosser", a terminé par assurer Fabrice Abriel.

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