Laurent Cotret (Avocat) : « On parle plutôt aujourd’hui d’une cinquantaine de millions d’euros » | OneFootball

Laurent Cotret (Avocat) : « On parle plutôt aujourd’hui d’une cinquantaine de millions d’euros » | OneFootball

Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·19 March 2025

Laurent Cotret (Avocat) : « On parle plutôt aujourd’hui d’une cinquantaine de millions d’euros »

Article image:Laurent Cotret (Avocat) : « On parle plutôt aujourd’hui d’une cinquantaine de millions d’euros »

Comme rapporté hier soir, les Girondins de Bordeaux sont passés pour un dernier point d’étape, devant le Tribunal de Commerce de Bordeaux, qui a confirmé la continuité de l’activité du Club. Le prochain rendez-vous, crucial, concerne la présentation du plan de redressement. Ce plan de redressement, avec évidemment le paiement des créanciers, sera soumis à l’homologation du Tribunal le 27 mai prochain. D’ici là…

Comme rapporté par Sud Ouest, l’on parle bien, concernant la dette, d’un montant entre 50 et 60 millions d’euros. Via le quotidien aquitain justement, l’avocat du Club et de Gérard Lopez, Laurent Cotret, à la sortie du Tribunal, a évoqué la suite, à savoir les négociations de la dette restante avec les créanciers. Un travail qui a déjà commencé, mais qui va se poursuivre jusqu’à quelques jours avant le rendez-vous au Tribunal fin juin.

« Le passif s’est considérablement réduit au fil des mois, entre des doubles déclarations, des créances contestées, des procès, etc. Tout ça, ça nous amène à un chiffre sur lequel on est d’ailleurs d’accord avec les organes de la procédure. On parle plutôt aujourd’hui d’une cinquantaine de millions d’euros, plus de 2,3 fois moins que le passif initial […] On ne sait pas encore quel montant sera incompressible. On souhaite trouver un consensus pour limiter au maximum les effets du plan pour les créanciers. Si on réussit à faire ce travail, ça veut dire que les Girondins de Bordeaux peuvent se relancer pour très longtemps et devenir peut-être un des clubs les plus compétitifs de France »

Article image:Laurent Cotret (Avocat) : « On parle plutôt aujourd’hui d’une cinquantaine de millions d’euros »
View publisher imprint