OL - Brest (2-1) : Roy ne comprend pas le penalty non sifflé en fin de match | OneFootball

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·3 March 2025

OL - Brest (2-1) : Roy ne comprend pas le penalty non sifflé en fin de match

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Dans la fin de match chaotique entre l’OL et Brest, le club breton pensait avoir une dernière opportunité d’égaliser. Néanmoins, Benoit Millot a choisi de ne pas sanctionner la main d’Ainsley Maitland-Niles.

Après avoir été plutôt soporifique pendant de très longues minutes, la rencontre entre l’OL et Brest s’est emballée avec une fin de match complètement folle. Ou plutôt une minute qui l’a fait basculer dans l’irrationnel. D’abord avec ce coup de sang de Paulo Fonseca qui fait suite à l’utilisation de la VAR par Benoit Millot pour checker un potentiel penalty pour les Brestois. La main d’Ainsley Maitland-Niles a finalement été le point de départ de toute cette excitation sur les bancs de touche.

Car, si Fonseca a occupé l’espace, sur le banc breton, la stupeur a été de mise au moment de voir l’arbitre faire signe qu’il y aurait un six-mètres pour Lucas Perri et non un deuxième penalty pour le SB29. Après la rencontre, Eric Roy cherchait encore à comprendre. "La frappe de Jonas (Martin) est arrêtée par une main, la main est au sol, OK, le ballon tape le genou avant, OK, mais ce n'est pas sanctionnable ? Moi, je veux bien, mais s'il y a but derrière ? Ça peut toucher 10 fois une partie du corps avant et ensuite la main, mais si cette main empêche un but derrière ? Est-ce que le geste défensif du Lyonnais est maîtrisé ?"


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"Les arbitres sont vilipendés aujourd'hui"

Dans cette fin de match chaotique, les joueurs de Brest ont eu l’impression d’être lésés par l’arbitrage, qui a finalement été le protagoniste principal de cet après-midi dominical. Toutefois, en plus de ne pas vouloir juger l’excès de colère de Paulo Fonseca, Eric Roy n’a pas voulu rajouter de l’huile sur le feu auprès d’une corporation qui subit quelques attaques ces derniers jours. "C'est un contexte particulier, les arbitres sont vilipendés aujourd'hui, ils ont un métier compliqué et je veux les soutenir, même si aujourd'hui (dimanche), il y a eu des décisions contre nous."

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