Bryan Bergougnoux (Tours) au sujet de son cancer : "Je me sens complètement guéri" | OneFootball

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·20 de diciembre de 2024

Bryan Bergougnoux (Tours) au sujet de son cancer : "Je me sens complètement guéri"

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Avant le 32e de finale de Coupe de France du Tours FC contre Lorient ce samedi 21 décembre, son entraîneur Bryan Bergougnoux s'est exprimé auprès de Ouest-France sur son cancer de la parotide diagnostiqué en décembre 2023.

Le Tours FC revient dans la lumière. Après des années de galère, le club d'Indre-et-Loire va effectivement s'offrir une accalmie ce week-end, avec un 32e de finale de Coupe de France de prestige à disputer contre le FC Lorient (Ligue 2) au stade de la Vallée du Cher (ce samedi, à 18h). L'occasion de mettre en avant l'excellent travail de Bryan Bergougnoux aux commandes du TFC, actuellement leader de sa poule en Régional 1. Revenu au club l'été dernier après un passage en tant que joueur remarqué entre 2012 et 2018, l'ex-milieu professionnel s'est justement confié auprès de Ouest-France avant ce rendez-vous face aux Merlus, notamment sur ses derniers mois traversés à combattre un cancer de parotide diagnostiqué en décembre 2023.


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"C'est derrière moi"

Un an plus tard, l'ancien coach de Thonon Évian l'assure : "C'est derrière moi. (...) Bien sûr, il faut du contrôle encore, mais je me sens complètement guéri. Évidemment, c’est une chose fragile donc ça peut revenir à tout moment, mais je n’ai plus envie de revenir là-dessus. Je ne me suis jamais senti malade, même si je sais que je l’étais un peu… Je veux seulement parler de football", balaye le technicien de 41 ans, qui répète l'importance du ballon rond à ses yeux. "Même dans mes mauvaises périodes durant ma carrière, c’est le football qui me tenait. (...) C’est ma famille et le football. Il n’y a rien d’autre sinon. D’ailleurs, quand j’ai traversé la maladie, j’avoue que je n’ai même pas eu le temps de penser au fait que j’étais malade. Je me suis fait opérer et quatre jours après, j’étais sur le banc pour un match de Coupe de France que je voulais gagner. J’aurais pu rester à la maison mais, justement, j’aurais pensé à la maladie… En fait, le football a toujours été mon meilleur remède", glisse-t-il.

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