Hoffenheim - OL (2-2) : un quadruple changement qui a failli faire mouche | OneFootball

Hoffenheim - OL (2-2) : un quadruple changement qui a failli faire mouche | OneFootball

Icon: Olympique-et-Lyonnais

Olympique-et-Lyonnais

·8 de noviembre de 2024

Hoffenheim - OL (2-2) : un quadruple changement qui a failli faire mouche

Imagen del artículo:Hoffenheim - OL (2-2) : un quadruple changement qui a failli faire mouche

Avec les entrées de Rayan Cherki, Alexandre Lacazette, Malick Fofana et Ainsley Maitland-Niles, le visage de l’OL a complètement changé à l’heure de jeu. Au point d’avoir cru à la victoire.

À ceux qui se demandaient encore si certains remplaçants habituels pouvaient venir tenir tête aux traditionnels titulaires, la réponse a été simple contre Hoffenheim (2-2) : non. À l’heure actuelle, la différence de niveau entre le onze ordinaire et celui aligné jeudi soir est bien trop grande. Les joueurs lancés pour ce 4e rendez-vous de Ligue Europa n’ont certes pas été mis dans les meilleures dispositions, mais il existe un bel écart. Il n’y a qu’à voir l’impact du quadruple changement effectué à la 62e minute pour le comprendre.

Hoffenheim l’a même rapidement compris avec cette égalisation d’Abner (66e), récompensant une volonté lyonnaise plus marquante. "C’est sûr que les entrants ont beaucoup de qualités. Je connais surtout le talent de Rayan Cherki, avec qui j’ai joué en espoirs. On a essayé de limiter les dégâts, mais avec de tels joueurs, toutes les équipes peuvent avoir du mal en face, a déclaré Valentin Gendrey après le match. D’où notre satisfaction de ce nul. On a continué à faire notre match, mais les deux buts après ces changements prouvent qu’il y a une différence."


OneFootball Videos


"Une coordination plus élevée"

À l’image d’un Alexandre Lacazette plus impliqué que les matchs précédents et récompensé par un but, l’OL a encore une fois montré un double visage dans une rencontre. C’est un mal qui perdure malheureusement depuis quelque temps. Toutefois, Pierre Sage a trouvé une explication à cet élan bien plus positif pendant une demi-heure. "Ils ont un niveau de coordination plus élevé, ce qui permet à l’équipe de produire un jeu plus efficace. En première, on a vu qu’on était moins coordonné, souvent dans les mêmes appels." Peut-être un manque d’automatisme avec autant de changements d'un coup ?

Ver detalles de la publicación