« J’ai pleuré sans m’en rendre compte » Nicolo Fagioli revient sur son départ de la Juventus | OneFootball

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·19 de marzo de 2025

« J’ai pleuré sans m’en rendre compte » Nicolo Fagioli revient sur son départ de la Juventus

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Nicolo Fagioli a quitté la Juventus pour la Fiorentina l'hiver dernier et ce départ n'a pas été simple pour lui. Il avoué avoir pleuré, lui qui était au club depuis tant d'années...

Nicolo Fagioli a été brillant contre la Juventus le week-end dernier, avec la Fiorentina. Il a rejoint ce club l'hiver dernier et a avoué aux micros du Corriere dello Sport avoir pleuré au moment de quitter la Juventus. « J'ai repris ma vie en main... J'ai passé onze ans à la Juve et lorsque j'ai décidé de partir fin décembre, je me suis senti plus léger. Mais au moment des adieux, j'ai pleuré. C'était un coup dur. J'ai pleuré sans m'en rendre compte, ce jour-là, j'ai compris qu'une longue phase de ma vie s'achevait, que je quittais des lieux, des compagnons, le voyage de tous les jours. C'était traumatisant. La Fiorentina m'a accueilli avec beaucoup d'affection et la nouveauté a fini par l'emporter sur le reste. »


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Selon lui, le droit à l'erreur n'existe pas à la Juventus. « À la Juve, on ne peut même pas profiter des victoires. Quand on a gagné un match, il faut immédiatement l'oublier et se tourner vers l'avenir. Si vous ne gagnez pas, vous vous sentez responsable de tout. Porter ce maillot n'est pas facile. Le fait de quitter Turin m'a également permis de sortir de la phase de l'enfance. C'était très important pour moi. Moise a ressenti la même chose. A la Juve, nous avons toujours été ceux du secteur des jeunes, de la Next Gen, traités comme tels. C'est le prix à payer. À la Juve, vous devez gagner, vous n'avez pas le droit à l'erreur. Si vous faites des erreurs, vous êtes éliminé. Et si vous êtes un jeune, vous devenez le premier changement et personne ne dit rien. Seul Allegri m'a donné la chance de jouer dans la continuité. Après le Genoa et Leipzig, Motta ne me considérait plus. Florence m'a redonné du plaisir et de la légèreté. Fagiolino est mort, aujourd'hui je suis Nicolò. »

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