Jean Deza : violences conjugales et 3e club depuis janvier | OneFootball

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·25 de marzo de 2025

Jean Deza : violences conjugales et 3e club depuis janvier

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Combien d’entre vous se rappelaient encore son nom ? Drôle de personnage, ou plutôt sinistre individu pour être honnête, que Jean Deza.

En effet, celui qui était longtemps considéré comme l’espoir majeur du football péruvien a, depuis son départ du Montpellier Hérault, davantage fait parler de lui dans les journaux à scandale et les tribunaux de son pays que sur les terrains. Il est notamment connu là-bas pour des frasques peu reluisantes qui vont pêle-mêle des infidélités aux fêtes illégales à répétition pendant le confinement en passant surtout par des violences conjugales multiples sur fond d’alcool à l’encontre d’au moins trois de ses anciennes compagnes, allant jusqu’à causer une fracture du crâne à l’une d’elles.


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Aujourd’hui, à 31 ans, il a, tenez-vous bien, déjà pas moins de 25 transferts dans 17 clubs différents à son actif. Et malgré ses incartades répétées et son hygiène de vie déplorable, il ne semble pas prêt à s’arrêter en si bon chemin, puisqu’il connaît déjà son troisième club depuis le 1er janvier, en l’occurrence le Santos FC. Mais pas l’illustre Santos brésilien de Pelé et Neymar, non, celui plus modeste de la ville de Nazca au Pérou, qui évolue en deuxième division.

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En réalité, si Deza revêtit déjà son troisième maillot de l’année civile, ce n’est pas parce qu’il a la bougeotte comme Xavier Gravelaine, mais plutôt parce que la justice de son pays a décidé le mois dernier de le mettre en examen pour tentative d’homicide sur l’une de ses ex, Gabriela Álava. Son nouveau club du moment, Juan Pablo II, qui évolue en Ligue 1 péruvienne, a alors décidé de casser immédiatement son contrat et seul un club de L2 a jugé pertinent de faire appel à lui – chacun sa conscience morale – tandis qu’il a échappé à la détention préventive, suscitant l’indignation d’une partie de la population.

Ironie de l’histoire, on se rappellera que, comme souvent, les lâches qui lèvent la main sur leurs conjointes sont plutôt du genre à se débiner quand il faut assumer (« Je suis malade mais je ne suis pas un assassin », a-t-il déclaré), ou encore pour aller charbonner face à des hommes, que ce soit en Ligue 1 ou plus fréquemment, le concernant à l’époque, en CFA2. Ceux qui traînaient parfois du côté de Grammont en 2014 et 2015 se souviendront en effet peut-être, ça ne manque pas de saveur, de ses larmes en sortant de certains matchs avec la réserve du MHSC, lui qui se plaignait notamment de la rudesse des défenseurs adverses.

Un petit homme donc, mais une liste de clubs longue comme le bras qui valait bien une brève et une capture d’écran.

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