Les premiers mots d’Igor Tudor en tant que coach de la Vieille Dame | OneFootball

Les premiers mots d’Igor Tudor en tant que coach de la Vieille Dame | OneFootball

Icon: Juventus-FR.com

Juventus-FR.com

·27 de marzo de 2025

Les premiers mots d’Igor Tudor en tant que coach de la Vieille Dame

Imagen del artículo:Les premiers mots d’Igor Tudor en tant que coach de la Vieille Dame

Nouvel entraîneur de la Juventus, Igor Tudor a été présenté devant les médias ce jeudi après-midi. Le coach croate s'est exprimé avant son premier match à venir contre le Genoa samedi en début de soirée.

Comment vous sentez-vous avant de débuter ?


OneFootball Videos


"Je voudrais saluer tous ceux qui sont ici. J'en connais certains, je vois que je les ai rencontrés. Je tiens tout d'abord à remercier le directeur et tout le club pour cette opportunité, pour cette chance d'entraîner ce grand club. Je donnerai tout ce que je peux, je ne veux décevoir personne et je veux faire le bon travail, celui qui doit être fait. L'émotion est palpable, car la Juve est un club que tout le monde aimerait entraîner. Il y a une volonté de travailler, de bien faire, d'atteindre l'objectif que nous connaissons tous. Je crois énormément en cette équipe car elle compte de bons joueurs, et nous savons que le moment est venu, il nous reste peu de temps pour travailler. Hier, les internationaux sont arrivés et nous avons eu un premier entraînement, mais il n'y a pas d'excuses. Je n'ai jamais cherché d'excuses, je cherchais des défis. Je recherche des joueurs à qui confier des responsabilités. Commençons comme ça.

Le cœur, l'appartenance, on ne peut pas gagner avec ça. Sinon, on fait venir le plus grand supporter et on le laisse s'entraîner. Tous les points de vue. Les motivations, tactiques et autres. Le travail de tout le club. Les joueurs sont de grands protagonistes. Il faut les faire donner le meilleur d'eux-mêmes. Le joueur comprend tout, comme l'un l'a fait, comme l'autre. S'il voit une chose, il ne voit pas l'autre. Il perd ou gagne en crédibilité. Ce n'est pas comme ça qu'on gagne."

Quels sont les problèmes à résoudre ?

"Il y a toujours ces belles descriptions, je sais qu'elles vont dans un sens ou dans l'autre. Ce n'est presque jamais tout noir ou tout blanc, même si c'est tout noir ou tout blanc. Je me considère comme un entraîneur. Dans ma carrière, j'ai commencé à entraîner assez tôt à cause de blessures. J'ai aussi vécu de nombreuses années à l'étranger. Je peux être un peu exigeant, mais je fais des choix avec mon cœur. Je viens, contrat ou pas, si je sens que c'est bien, je continue, si ce n'est pas bien, je rentre chez moi. Cette situation est arrivée, mais elle n'a rien à voir. On vit le présent, même ce travail ici. Avoir un contrat de 10 ans ne change pas grand-chose. J'aimerais avoir un contrat de 10 ans, mais je continue mon travail. Il y a le match de samedi, on se motive, c'est la vie d'un entraîneur. On ne peut pas contrôler l'avenir. Aujourd'hui, je vis l'entraînement d'aujourd'hui, je dois parler aux joueurs, c'est la vie d'un entraîneur. C'est une affaire individuelle. Il est bon d'apporter un peu de positivité, mais ensuite, il faudra mettre nos casques et pédaler. Il faut repartir de zéro, mais sans anxiété. On connaît la pression d'être à la Juve."

Qui sera votre capitaine ?

"Chacun doit prendre ses responsabilités. Le capitaine sera Locatelli. Nous nommerons deux ou trois autres personnes dans les prochains jours ; ils sont arrivés hier. Manuel est quelqu'un de bien, il a les compétences nécessaires pour y parvenir."

Dusan Vlahovic est-il votre leader en attaque ?

"C'est un joueur très fort et je suis heureux de l'entraîner. J'en ai déjà parlé par le passé, c'est comme ça. Ce sont des faits, pas des mots. Un joueur qui a toutes les qualités d'un joueur de premier plan. Il sait marquer des buts, il comprend, il est intelligent, il est motivant, il vient d'une période comme celle-ci. Nous avons discuté, échangé nos points de vue. Il a envie de travailler. Nous avons lui et Kolo, qui sont des joueurs forts. Peuvent-ils jouer ensemble ? Ils peuvent jouer ensemble, l'un ou l'autre, on peut tout faire. C'est important d'avoir des joueurs forts, sinon un entraîneur ne peut rien faire. C'est stimulant. On sait qu'il faut tout, et quand il y a de la jeunesse, c'est magnifique."

Comptez-vous sur Yildiz et Koopmeiners ?

"Quand quelqu'un est fort, il peut jouer n'importe où. J'ai vu tous les garçons déçus ; lorsqu'un entraîneur part, c'est aussi leur responsabilité. En même temps, je les ai vus très motivés et impatients de reprendre. Koop, pareil. Ce sont des joueurs aux qualités rares et importantes, ils peuvent et doivent marquer des buts. Ce sont eux qui font la différence au football. Ceux qui jouent près du but. Je vais essayer de trouver les bons postes pour que les joueurs soient plus performants."

Et les Français Kolo Muani et Thuram ?

"Hier, j'ai parlé à Lilian, on a discuté, et il m'a dit : "Écoute, s'il fait quelque chose de mal, giflez-le tout de suite". Non, il est bien élevé, je connais Khephren de Nice, je l'ai rencontré à Marseille. J'ai vu Kolo hier, un joueur très fort, inutile de le dire. Je l'ai vu jouer. On s'est rencontrés hier. On va essayer d'utiliser l'équipe au mieux."

Allez-vous aligner une défense à 3 ?

"J'ai joué à 4 en défense, mais aussi à 3. J'ai pratiqué le pressing individuel et le pressing de zone. Ce sont des aspects importants, mais il faut tenir compte des caractéristiques de l'équipe."

Doit-on s'attendre à voir une équipe offensive ?

"Nous n'avons rien à abandonner. Je veux que les gens s'amusent. Je veux toujours marquer un but de plus. J'aime attaquer à plusieurs, mais je ne veux pas non plus encaisser de but. Le travail doit être terminé. Le football doit évoluer vers un monde de plus en plus exigeant, qui le rend de plus en plus intéressant. On regarde tellement de matchs maintenant, et on peut aussi s'ennuyer. Je vois et je lis. Je pense que nous devons aller dans cette direction, mais il ne faut pas négliger l'équilibre."

Ver detalles de la publicación