AllezPaillade.com
·23 de diciembre de 2024
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On vous rassure, on ne va pas vous proposer une flopée d’articles centrée sur chacun des joueurs ayant marqué de son empreinte l’histoire du MHSC. Mais Akor Adams, à la pointe de l’attaque, était forcément attendu comme celui qui allait rendre ce 32e de finale de Coupe de France moins compliquée. Il n’en fut rien.
Car si les Pailladins ont sombré après l’ouverture du score des locaux, ne donnant jamais l’impression d’être en capacité d’égaliser face aux Ponots, ils ont gâché quelques opportunités dans le premier acte de la partie. Mousa Tamari n’a pas toujours fait les bons choix, Jordan Ferri a été incapable de cadrer une offrande de Falaye Sacko (si si, promis) et Téji Savanier a eu trop confiance en son pied gauche. Mais avant tout cela, c’est bel et bien Akor Adams qui a brillé. Parfaitement servi par Issiaga Sylla, le Nigérian a alors vu la gonfle rebondir sur son crâne avant d’atterrir tranquillement, sans heurts ni obstacles, dans la niche de Matis Carvalho.
Crédits Iconsport
Une action qui aurait pu être anodine, mais qui est symptomatique pour l’unique avant-centre professionnel de l’effectif, et symbolique du niveau qu’il démontre depuis son arrivée dans l’Herault, à l’exception de débuts tonitruants et hors du temps. Pas assez tueur, trop discret, les critiques s’amoncellent sans discontinuer sur son dos, qu’il a large depuis de longs mois, sans qu’il ne donne l’impression de pouvoir retrouver sa forme initiale. Celle-là même qui lui avait permis d’inscrire 7 buts sur les dix premières journées de Ligue 1. Il avait fini l’exercice avec une seule unité de plus. Est-il donc vraiment au niveau de la L1 ? Samedi, en tout cas, il n’avait pas le niveau pour évoluer dans le onze du Puy-en-Velay, 3e de Nationale 2.
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