Pacho se confie : sa signature au PSG, son numéro, le bandage, Luis Enrique… | OneFootball

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·16 de enero de 2025

Pacho se confie : sa signature au PSG, son numéro, le bandage, Luis Enrique…

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Willian Pacho, défenseur de 23 ans de l’Equateur arrivé au Paris Saint-Germain l’été dernier en provenance de l’Eintracht Francfort, s’est confié au micro de PSG TV. Il évoque de nombreux sujets, dont son arrivée au PSG, le choix du numéro 51, le bandage porté à la main gauche ou l’apport du coach Luis Enrique.




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Pacho « il faut toujours respecter les gens. »

Ta découverte du football ?

Grâce à mon grand frère. J’ai un grand frère, il jouait avec ses amis, et je le regardais jouer. J’ai adoré et j’ai commencé à jouer avec eux. Et puis, ils m’ont donné un ballon. Mes premiers pas dans le football se sont passés dans le quartier où je vivais, et j’ai beaucoup appris de cela. Puis j’ai commencé à regarder les matches de l’équipe nationale et tout le reste, et je n’ai plus jamais lâché le foot !

Tes valeurs dans le football et la vie ?

Je suis très respectueux, c’est quelque chose que ma mère m’a appris très vite, qu’il faut toujours respecter les gens. Il faut être gentil aussi, sur et en dehors du terrain.. J’ai toujours dit que si tu as du respect pour tout le monde, alors tu n’auras que du respect en retour. C’est une valeur familiale !

Comment tu as vécu ta première sélection avec l’Equateur ?

Très bien ! Je n’avais jamais été sélectionné avant avec les jeunes. Mais ma première sélection était directement avec l’équipe première. C’était incroyable et je ne m’y attendais pas du tout, et je savais que le plus dur allait commencer, parce qu’il fallait travailler encore plus dur. Mais quand on m’a appelé, j’étais très heureux, et j’ai tout de suite appelé ma famille pour leur dire. Tout le monde a crié, ils étaient très heureux.

Pacho « parce que ma mère nous a quittés quand elle avait 51 ans. »

Tu as appelé qui en premier quand tu as signé au PSG et qu’as-tu dit ?

J’ai appelé beaucoup de monde ! (sourire) Je l’ai dit à ma sœur en premier. J’avais déjà le maillot 2029, et je l’ai montré à toute ma famille. C’était un moment incroyable. J’ai dit que j’avais signé, ils ont pleuré de bonheur. J’étais très heureux.

Pourquoi le numéro 51 ?

Parce qu’à Independiente del Valle, ma première équipe, c’est le numéro que je portais quand je jouais dans mon premier club. Cela m’a bien réussi et quand je réussis, je me ressers des choses, par superstition. Et aussi parce que ma mère nous a quittés quand elle avait 51 ans. Alors je porte toujours ce numéro.

Pacho « chaque fois que je vais jouer, pour me sentir bien, je porte ce bandage. »

Pourquoi le bandage à la main ?

On me l’a beaucoup demandé (rires). Quand je jouais en Belgique à Anvers, je me suis fracturé la main et j’ai dû porter un plâtre pendant un mois, en décembre je crois. Après j’ai pu l’enlever et j’ai pu rejouer mais en portant un bandage comme celui-là. Ensuite j’ai joué en sélection et j’ai marqué un but, contre l’Australie. Je me sentais bien et maintenant, chaque fois que je vais jouer, pour me sentir bien, je porte ce bandage.

Que aimes-tu faire en dehors des terrain ?

J’aime passer beaucoup de temps à la maison, regarder des films, jouer, parler avec la famille. Je n’aime pas trop sortir, aussi parce qu’il fait froid (rires).

Pacho « Je me sens très bien dans ce groupe. »

Avec quel joueur es-tu le plus proche ?

Je ne sais pas, ils sont tous incroyables. Je m’entends très bien avec tout le monde, et j’aime bien passer du temps avec Achraf, Ousmane, Asensio, Lee. Et je m’entends très bien avec les Portugais ! Je sors parfois avec eux en groupe, on passe de bons moments ensemble. Je me sens très bien dans ce groupe.

Le Trophée des Champions, 1er titre avec le PSG : qu’as-tu ressenti?

Beaucoup de joie ! Il ne restait que quelques minutes pour marquer, le match était tendu et nous étions très proches de marquer mais cela ne venait pas. Quand on a marqué et à la fin du match, nous avons ressenti beaucoup de bonheur parce que nous travaillons dur pour atteindre ce genre d’objectif, remporter des trophées. Et aussi, je suis le premier équatorien à le gagner ! C’est quelque chose qui me remplit de fierté et de bonheur. Cela aide à continuer à travailler dur.

Tu as l’air calme et serein, c’est vrai ?

Oui, je pense que cela fait partie de ma façon d’être, de ma personnalité. Pour être honnête, je me sens toujours très calme, dans tous les sens du terme. Mais dès qu’il s’agit d’aller sur le terrain, je me donne à fond.

Pacho « J’écoute toujours comment il parle aux gens. Cela m’aide. »

Quel est le meilleur conseil que tu as reçu dans le foot et de qui ?

Il y en a beaucoup de personnes et de conseils, mais un m’a marqué particulièrement. Quand j’étais petit, on m’a dit qu’il ne doit pas y voir de différence entre mon pire entraînement et mon meilleur entraînement. Il faut toujours être au top, se maintenir à un très haut niveau.

C’est un entraîneur espagnol d’Independiente del Valle, Miguel Angel Raminez, qui nous parlait toujours. Il m’a beaucoup influencé, je l’ai toujours écouté. C’est ce qu’il me disait.

Quel conseil de Luis Enrique t’as le plus fait évoluer ces 5 derniers mois ?

Plus qu’un conseil, il m’apporte beaucoup de confiance, je le ressens dans la façon dont il parle, il sait parler aux gens. Il me donne énormément de confiance, pour qu’il nous dit que l’on s’entraîne bien, que l’on joue bien, et que l’on doit rester au top niveau pour être pour l’équipe.

J’écoute toujours comment il parle aux gens. Cela m’aide. Par exemple, il nous fait beaucoup travailler sur le mauvais pied, donc on n’a pas la peur d’échouer. On sait que l’on peut essayer et il aime que l’on essaye.

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