Stade Rennais Online
·16 de enero de 2025
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·16 de enero de 2025
Dans un entretien à Ouest-France, Arnaud Pouille a pris la parole et confirmé qu'un petit groupe de joueurs s'entrainerait désormais à l'écart, ce que révélait plus tôt Le (…)
Dans un entretien à Ouest-France, Arnaud Pouille a pris la parole et confirmé qu’un petit groupe de joueurs s’entrainerait désormais à l’écart, ce que révélait plus tôt Le Parisien. Il s’agirait de Gallon, Santamaria, Kamara et Gronbaek.
« Une situation largement inacceptable ». Ce sont en ces termes que le président Arnaud Pouille définit l’état actuel du Stade rennais, éliminé en coupe de France par Troyes hier soir. Le dirigeant a pris la parole pour Ouest-France ce jeudi, au lendemain de celle prise par Frederic Massara, et quelques heures après avoir parlé devant le groupe, suite à l’entrainement.
« Au-delà du résultat, il y a des choses qui se voient à l’œil nu. Il suffit de regarder les retours (défensifs) des joueurs parfois. Ou quand le ballon est au milieu de trois joueurs, il ne faut surtout pas le prendre et le laisser aux copains… », confie Pouille, qui confirme qu’un groupe de joueur évoluera désormais en marge du groupe de Jorge Sampaoli.
« Il y a un maillot à porter, et il ne faut pas lui cracher dessus », continue le président du SRFC. « On va concentrer l’effort sur ceux qui ont envie de porter le projet, pas sur ceux qui n’en ont rien à faire de l’histoire du club. Il faut des gens investis, et malheureusement, on a constaté que certains le sont moins que d’autres. On ne peut plus se disperser sur des gens qui s’en fichent d’être là ou ailleurs. »
Un loft se met donc en place au Stade rennais, et selon Ouest-France comme Le Parisien, quatre joueurs seraient concernés : Gauthier Gallon, Baptise Santamaria, Glen Kamara et Albert Gronbaek. Pouille indique également qu’ils « pourraient potentiellement être réintégrés ».
« Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence, il faut qu’ils le comprennent vite. Cela veut dire être à l’heure, respecter les obligations du club. Il y a des droits, mais aussi pas mal de devoirs. Il faut vite rebrancher les fils et arrêter de croire que c’est le Club Med ! Sinon, le club dans son ensemble va vite être rattrapé par la réalité qui est celle de la compétition », pose t-il encore.