Bordeaux : mis en cause par les Girondins, Arkin Capital réplique et tacle le FCGB | OneFootball

Arkin Capital, intéressé par le rachat de Bordeaux, a répondu au communiqué des Girondins.

Une passe d’armes qui pourrait se poursuivre pendant plusieurs semaines. Ce mardi 25 février, Bordeaux a effectivement publié un communiqué sur ses réseaux sociaux afin de taper du poing sur la table concernant un potentiel repreneur. "Le FC Girondins de Bordeaux met en garde contre une tentative de fraude impliquant l’entité Arkin Capital LLP, qui prétend vouloir investir 205 millions d’euros dans la reprise du club" informait alors le pensionnaire de National 2, avant de tacler certains élus municipaux. Une attaque qui ne passe passe pour l’entreprise anglaise, qui a décidé de répondre à l’actuel second du Groupe B.

"Alors que le FC Girondins de Bordeaux traverse une période financière critique, Arkin Capital LLP exprime son étonnement face à des déclarations publiques inexactes, qui ne font que fragiliser les échanges en cours et alimenter une confusion inutile. Arkin Capital LLP regrette cette communication publique inopportune. Depuis le début de cette démarche, nous avons fait preuve d’une totale transparence et présenté des solutions financières éprouvées, déjà mises en œuvre avec succès par le passé. Arkin Capital LLP conteste fermement toute accusation d’escroquerie, qu’elle considère comme infondée et attentatoire à son honneur" démarre le communiqué transmis à Sud-Ouest.

Arkin Capital "s’interroge" sur les réelles ambitions de Gérard Lopez

Menacée de poursuites judiciaires par les Girondins de Bordeaux, l’entreprise fondée en 2024 se réserve "le droit d’engager toute action judiciaire nécessaire pour protéger notre réputation et celle de nos partenaires" face à ces "allégations inacceptables". Le spécialiste en titrisation et financements stratégiques "s’interroge sur la posture du FCGB, qui semble s’opposer à toute initiative visant à stabiliser sa situation financière. Dans ce contexte, Arkin Capital LLP s’étonne de la volonté affichée par le FCGB de fermer la porte à des solutions financières viables. Le club communique sur un “ni vendeur, ni acheteur”, mais cette déclaration soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses." "

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