Bruno Irles : « Dans le contact avec les joueurs, il a ce que je n’ai pas et ce que je ne veux pas avoir » | OneFootball

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·24 décembre 2024

Bruno Irles : « Dans le contact avec les joueurs, il a ce que je n’ai pas et ce que je ne veux pas avoir »

Image de l'article :Bruno Irles : « Dans le contact avec les joueurs, il a ce que je n’ai pas et ce que je ne veux pas avoir »

Comme il l’a si bien dit après Bordeaux-Rennes, lors de la soirée précédente, Bruno Irles ainsi que Dado Prso, n’ont pas regardé la rencontre entre Strasbourg et Calais, mais plus le match nul de leur principal adversaire en National 2, l’US Saint-Malo, à Blois.

Dans Sud Ouest, un focus a été réalisé sur la relation entre l’ancien international croate, et l’ancien joueur et formateur de l’AS Monaco. Cette relation s’est créée « quand je bascule dans le monde des entraîneurs professionnels, il côtoie pas mal le milieu des agents et mettait des clubs en relation. Je ne trouve pas de club en France et c’est lui qui me propose le Sherif Tiraspol ».


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Ce fut sa première expérience à l’étranger, avec 7 victoires, 1 match nul et 3 défaites. Bruno Irles remporta d’ailleurs la Supercoupe de Moldavie en août 2016 et disputa le 2ème tour de qualification de la Ligue des Champions. Mais, au soir d’une défaite à l’extérieur fin septembre 2016, il est démis de ses fonctions alors que son équipe est en tête du championnat moldave avec six victoires en huit matches, tout en ayant la meilleure attaque.

Puis, au fil du temps, les deux hommes se rapprochent un peu plus encore, travaillant réellement ensemble, en tant qu’entraineur principal et adjoint. Avec deux rôles et deux personnalités différentes, complémentaires.

« Dans le contact avec les joueurs, il a ce que je n’ai pas et ce que je ne veux pas avoir. Je peux être démonstratif, mais je mets une distance car c’est moi qui tranche. Le rôle de Dado lui permet d’être plus proche. J’ai besoin de lui dans mon management. Et puis, il comprend le foot comme moi. Quand il parle à un joueur, je sais qu’il lui dit ce que j’aurais dit. C’est comme si j’avais moi-même parlé. Cette confiance aveugle, c’est du temps gagné. »

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