Dani Carvajal, honoré par son rôle à la fête de San Isidro : « C’est quelque chose que je raconterai un jour à mes enfants » | OneFootball

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Le Journal du Real

·7 mai 2025

Dani Carvajal, honoré par son rôle à la fête de San Isidro : « C’est quelque chose que je raconterai un jour à mes enfants »

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Chaque année, San Isidro rassemble les Madrilènes autour de leurs traditions les plus chères : œillets rouges, chotis, barbes à papa et orgue de Barbarie. En 2024, l’événement prend une tournure inédite avec l’initiative de Mahou Cinco Estrellas. Pour rendre hommage à ses racines, la célèbre bière madrilène, fondée il y a 135 ans dans la capitale, a recréé l’atmosphère de la mythique Pradera de San Isidro, indique Marca. À ses côtés, les grands noms du football de la région, issus du Real Madrid, de l’Atlético, du Rayo Vallecano, du Getafe, du CD Leganés ou encore de l’Alcorcón, ont répondu à l’appel.

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Un honneur pour Dani Carvajal

Dani Carvajal, madrilène de naissance et crieur officiel des festivités cette année, s’est dit honoré : « C’est quelque chose que je raconterai un jour à mes enfants. J’en suis très enthousiaste. » Pour lui, le chotis reste « l’essence même de San Isidro ». Une tradition que son coéquipier, Aurélien Tchouaméni, n’a pas hésité à danser aux côtés d’une chulapa, saluant la convivialité madrilène : « La musique et la danse sont l’élément vital de la fête. J’adore vivre à Madrid. »


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Un pont entre générations et passions

Mahou ne se contente pas d’associer son image à ces figures du ballon rond : elle tisse un lien entre passé et présent, entre football et culture populaire. Thibaut Courtois a notamment salué cette passerelle intergénérationnelle : « Comme le football, San Isidro unit les jeunes et les plus âgés. Tout le monde danse ensemble. »

Lucas Vázquez, fidèle à cette tradition, évoque des souvenirs partagés : « Pour moi, San Isidro signifie se retrouver à La Pradera avec des amis et de la famille. » Dans cette reconstitution festive, les clubs et les joueurs deviennent les ambassadeurs d’un Madrid vivant, joyeux, fier de ses racines. Une ville qui bat au rythme du chotis… et du football.

Léo Seguin

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