Giráldez : "Si le match avait duré 5 minutes de plus, nous aurions sûrement égalisé" | OneFootball

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·4 mai 2025

Giráldez : "Si le match avait duré 5 minutes de plus, nous aurions sûrement égalisé"

Image de l'article :Giráldez : "Si le match avait duré 5 minutes de plus, nous aurions sûrement égalisé"

Le coach du Celta, Claudio Giráldez, s’est exprimé après la défaite de son équipe face au Real ce dimanche (3-2). Le Celta est remonté au score après avoir mené 3-0, et n’est pas passé loin de l’égalisation.

Proche de prendre 1 point : "Ça qui nous est arrivé plusieurs fois cette année, ce type de scénarios et de matchs. Nous sommes en train de construire quelque chose de très bien, mais je pense que cette façon d'agir dans ce genre de scénarios nous fait occuper la septième place et chaque fois que je ne gagne pas, j'ai toujours des regrets. Et quand je gagne et que je n'aime pas le jeu de l'équipe, je regrette aussi. Je suis fier de ce que nous avons fait, de la manière dont nous l'avons abordé et de la façon dont les joueurs ont réagi. Il est très méritoire d'avoir remonté un score de 2-0 en Coupe et aujourd'hui, nous sommes passés tout près du 3-3. J'ai le sentiment qu'en première mi-temps, nous n'avons pas bien joué avec le ballon et que nous avons eu du mal à nous détendre, comme ce fut le cas après le 2-0. Je pense que la clé du match a été le 3-0, quand ils ont marqué ce but si tôt en seconde période, nous savions que c'était compliqué, mais malgré cela l'équipe s'est reprise et je suis très fier, je pense que tous ceux qui supportent le Celta doivent être fiers de ce que les joueurs ont fait et combien il est difficile sur une scène et contre un rival comme celui-ci d'avoir concédé la défaite de cette manière."


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Réaction de l’équipe : "Nous n'abandonnons jamais, nous ne pouvons pas abandonner. Cette année, nous avons été capables de revenir dans de nombreux matchs, cela s'est produit contre le Barça ou Madrid. L'équipe sait qu'elle doit se concentrer sur le football, que la tête doit aider. Le coup du 1-0 sur la première occasion nous fait mal. Le point commun c’est qu'au cours des trois matchs contre Madrid, ils nous ont marqué des buts dans la lucarne. Ce n'est pas une coïncidence. Nous n'avons pas eu la bonne circulation du ballon en première mi-temps et contre une équipe comme celle-ci, si vous n'êtes pas capable de garder le ballon, il est difficile pour nous de gagner. En première mi-temps, nous sommes arrivés avec trop de tension dans la circulation du ballon et cela nous a fait passer trop de temps en phase défensive. Après les buts, les jeunes joueurs se sont relâchés, ils se sont libérés, ils n'avaient plus rien à perdre et nous avons fait ce que nous faisons d'habitude, c'est-à-dire nous rassembler, être protagonistes, faire beaucoup de passes, faire tourner le ballon. On l'a vu en deuxième mi-temps. Il y a beaucoup de jeunes joueurs, nous avons joué 90 minutes avec trois joueurs de l'équipe réserve et j'aimerais que les gens considèrent cela comme quelque chose de normal. Nous sommes en train de construire quelque chose de très bien pour l'avenir."

Pas de changement à la mi-temps : "J'ai vu qu'en ajustant certaines choses, avec les joueurs que nous avions, nous étions capables de nous créer des occasions. Malgré le troisième but, l'équipe a continué à croire en la victoire. Nous avions des joueurs comme Durán et Swedberg qui attaquaient les espaces, sans oublier la précision d'Aspas dans la dernière passe.

L’entrée d’Aspas : "Je ne pense jamais à réserver quelqu'un pour un autre match. Malgré le score de 3-0, nous avons joué avec Fer et Ilaix au milieu, avec Mingueza et Hugo Álvarez sur les ailes et avec des joueurs très offensifs devant. À la fin, on prend des décisions. Nous savons qu'Aspas est décisif avec des espaces plus ouverts dans les dernières minutes et nous avons hésité à faire le cinquième changement rapidement dans un match aussi exigeant physiquement. Nous pensions que Swedberg et Durán allaient nous donner plus à ce moment-là, ils nous ont fait progresser et Aspas nous a donné la touche finale. J'aurais aimé avoir cinq minutes de plus, je pense que nous aurions pu égaliser. J'aurais peut-être dû faire entrer Aspas cinq minutes plus tôt, je ne sais pas, nous ne le saurons jamais.

Passages à vide : "Contre Madrid et contre tout le monde. Un but peut changer l'ambiance et la situation du match. Nous savons comment Madrid joue, nous savons à quel point ils sont dangereux en transition. Quand ils prennent l'avantage, ils ont un joueur en dernière ligne qui ne revient pas si vite. Ils auraient pu nous tuer en transition, mais l'équipe a continué à penser au football, à ce que nous pouvons faire au niveau footballistique pour dominer, pour défendre et pour renverser le résultat. Si je dois donner un défaut à l'équipe sur les deux matchs que nous avons joués ici cette année, c'est qu'en première mi-temps, nous avons trop joué aux dépens de l'adversaire, trop de temps en phase défensive parce que nous n'avons pas trouvé de solutions rapides."

Troisième but : "Ce n'était pas idéal. Nous savions qu'un déficit de trois buts est très difficile à remonter et encore plus contre une équipe comme le Real. L'équipe nous a donné une leçon pour continuer à croire. Nous allons jouer dans n'importe quel scénario de la même manière, à n'importe quel moment du match de la même manière, en essayant d'être courageux et protagonistes. Lorsque nous sommes fidèles à notre façon de jouer, les résultats ont tendance à venir. C'est une lecture que nous devons graver au fer rouge."

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