Stats Perform
·18 juillet 2018
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·18 juillet 2018
Jimmy Durmaz (29 ans) fait partie des joueurs de Ligue 1 dont le nom alimente actuellement la rubrique des transferts. À un an de l'expiration de son bail à Toulouse, il se murmure qu'il pourrait changer d'air. La piste rennaise a été évoquée par plusieurs médias. Pourtant, l'intéressé, qui se trouve actuellement en vacances après avoir participé à la Coupe du Monde avec sa sélection suédoise, n'a pas vraiment l'intention de changer d'air.
Selon nos informations, la priorité de l'ailier scandinave est de continuer son parcours avec le TFC. Au club depuis 2016, il se verrait bien rester au moins une saison de plus avec les Violets. Lors de la dernière campagne, il a pu passer par des moments difficiles (12 titularisations en championnat seulement) et l'idée d'un départ a alors germé dans son esprit. Mais, il s'est refait un moral à l'occasion des barrages contre Ajaccio où il a participé activement au maintien des siens, avec notamment un but inscrit lors de la seconde manche à domicile (1-0).
Le changement à la barre technique du club, avec le départ de Mickaël Debève et son remplacement par Alain Casanova, a pu également influer la position du milieu offensif scandinave. C'est une nouvelle page qui s'ouvre pour le TFC et le Suédois a bon espoir de pouvoir se relancer et retrouver un temps de jeu conséquent avec les Violets.
Concernant l'intérêt de Rennes, il n'y aurait rien de concret. Le joueur n'a pas été approché directement, et l'idée de quitter Toulouse pour une autre formation de Ligue 1 au standing relativement comparable ne l'enchante pas plus que cela, même si avec les Rouge et Noir il aurait la possibilité de goûter de nouveau à la Ligue Europa.
Durmaz (29 ans) est donc prêt à continuer avec Toulouse. Le souhait est-il réciproque ? La direction du club pourrait avoir d'autres plans. Et pour cause; à moins d'une prolongation, qui ne serait pour l'instant pas à l'ordre du jour, le TFC prendrait un risque en gardant cet élément à un an de la fin de son contrat. Les dirigeants ont payé 2M€ pour ses services et le président Olivier Sadran n'a pas vraiment la réputation de laisser partir libres des éléments pour lesquels il investit de telles sommes.