"La moitié peut partir, je m'en fous si des joueurs ont 20 ans de contrat" : le coach de Chelsea remet les pendules à l'heure, discours rassurant pour Roméo Lavia | OneFootball

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·22 août 2024

"La moitié peut partir, je m'en fous si des joueurs ont 20 ans de contrat" : le coach de Chelsea remet les pendules à l'heure, discours rassurant pour Roméo Lavia

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La situation à Chelsea est plus que particulière. Le club compte, alors que la Premier League a repris le week-end dernier, plus de... 40 joueurs sous contrat. L'entraîneur, Enzo Maresca, a remis les pendules à l'heure : la moitié peut s'en aller.

Chelsea compte... une quarantaine de joueurs (!) dans son équipe première. Un nombre qui fait sortir les yeux des trous, et qui interroge : mais comment un entraîneur peut-il travailler avec autant de monde, contenter chacun et garder une bonne ambiance dans le groupe ?


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C'est absolument impossible, et le T1 Enzo Maresca l'a bien compris. Interrogé en conférence de presse sur la taille absolument insensée de son effectif, l'entraîneur italien a remis les pendules à l'heure.

Les joueurs peuvent avoir des contrats de 20 ans, je m'en fiche"

"Je ne travaille pas avec 42 joueurs. Je travaille avec 21 joueurs. Les 15 à 20 autres joueurs s’entraînent à l’écart. Je ne les vois pas. Ce n’est pas un gâchis comme certains peuvent le penser vu de l’extérieur. Absolument pas."

"Je ne pense pas au nombre d’années qu’il reste à leur contrat. Ce n’est pas mon travail. Ce n'est pas brutal, c'est juste honnête. Si je ne les aime pas, ils peuvent avoir des contrats de 20 ans, je m’en fiche."

Roméo Lavia est dans le bon groupe, mais attention...

Les Blues sont prévenus, Roméo Lavia aussi. Le jeune médian belge était titulaire contre Manchester City lors de la première journée et son entraîneur semble donc l'avoir "à la bonne", mais la marge de manœuvre est faible.

Maresca a beaucoup de joueurs sous la main et aura tout le loisir d'aller piocher dans son noyau pléthorique si les performances de ses joueurs ne lui conviennent pas. Lavia est bien parti, mais a encore beaucoup de pain sur la planche.

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