Walfoot.be
·18 avril 2023
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Au début de la phase amenant le premier but de Genk, l'arbitre influence la phase en gênant Lior Refaelov. Pourtant, Bertrand Layec, patron de l'arbitrage belge, affirme que cela n'est pas une erreur.
Difficile de remettre en cause l'arbitrage quand l'une des deux équipes en plante 5 à l'autre, et aucun joueur d'Anderlecht ne l'a d'ailleurs fait. Mais c'est un fait : sur le 1-0 du Racing Genk, signé Samatta, Lior Refaelov perd le ballon car il est gêné par Mr Lambrechts.
"Déjà , c'est pas de chance d'être impliqué comme ça dans une phase de but. Ensuite, les lois du jeu ne prévoient rien en l'espèce. Elles ont évolué ces derniers temps mais quand l'arbitre touche le ballon, pour qu'il n'impacte pas une occasion de but", explique Bertrand Layec, directeur du département arbitral belge.
"L'arbitre fait partie du jeu, comme on le dit, et les joueurs doivent l'accepter. Il y a peut-être des situations plus impactantes, où le bon sens doit prévaloir", reconnaît-il ensuite. "Nous n'avons aucun outil pour arrêter le match dans ce cas-là . Si l'arbitre avait touché le ballon, il aurait dû arrêter le jeu, sous certaines conditions".
Une situation infortunée, donc, mais pas couverte par le règlement, au grand dam d'Anderlecht. "C'est malencontreux, hélas, mais je ne pense pas qu'on puisse le reprocher à notre arbitre", conclut Bertrand Layec.
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