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Pierre Germain·17 juin 2019
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Pierre Germain·17 juin 2019
Service minimum pour les Bleues qui ont battu le Nigéria sur le plus petit des scores lundi soir.
Les deux équipes ont regagné les vestiaires sans le moindre but inscrit au terme d’une première période pauvre en occasions. Les Françaises ont largement eu la mainmise sur la rencontre (70% de possession) mais ont manqué de précision pour ouvrir le score, ne cadrant aucune des 6 frappes tentées lors des 45 premières minutes.
Les Bleues ont immédiatement mis leurs adversaires sous pression et le danger s’est rapproché dès l’entame de la seconde période. Plusieurs belles occasions ont été vendangées avant l’heure de jeu, à l’image de la frappe de Tiney qui a manqué de peu le cadre (59e). Statistique représentative du manque d’efficacité française, Majri a réalisé la première frappe cadrée à la 65e minute.
C’est finalement sur pénalty, et grâce à une double intervention du VAR, que l’équipe de France a pris l’avantage. Ebere a été exclue pour une faute sur Viviane Asseyi dans la surface après intervention de la vidéo, mais Renard n’a pas transformé le pénalty obtenu. Mais l’arbitre, une fois de plus aidée par le VAR, lui a offert une deuxième chance car la gardienne adverse avait bougé avant le coup de sifflet. Deuxième chance concrétisée par la Lyonnaise.
Le score n’a ensuite plus évolué dans une fin de match hachée par les fautes. Sans briller, les Bleues assurent l’essentiel en finissant à la première place dans le groupe A.
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