Liverpool - PSG : Istvan Kovacs, le bon et moins bon souvenir d'Ousmane Dembélé | OneFootball

Istvan Kovacs a été désigné par l'UEFA pour diriger le choc Liverpool-PSG en Ligue des champions. Un bon et moins bon souvenir pour le Parisien Ousmane Dembélé.

Le Paris Saint-Germain est en mission. Moins d'une semaine après sa cruelle défaite du match aller au Parc des Princes (0-1), le club de la capitale retrouve Liverpool ce mardi 11 mars (21h) en huitième de finale retour de Ligue des champions. S'il souhaite rejoindre les quarts de finale pour affronter le vainqueur de la confrontation entre Bruges et Aston Villa, le PSG se doit donc de renverser les Reds à Anfield. Le tout, sous les ordres d'un Istvan Kovacs désigné par l'UEFA pour diriger les débats. Un bon et moins bon souvenir pour un certain Ousmane Dembélé ...

Le bon souvenir de Catalogne

Le moins bon, tout d'abord. Pour cela, il faut remonter au 26 novembre dernier lorsque l'arbitre roumain était aux commandes du match de la première phase entre le Bayern Munich et les coéquipiers de l'ex-Barcelonais. À l'Allianz Arena, ces derniers s'étaient inclinés d'une courte tête (0-1) après avoir conclu la rencontre à dix contre onze, orphelins de leur numéro 10 depuis la 56e minute de jeu. L'international français avait effectivement été sévèrement expulsé par M. Kovacs pour deux avertissements : un premier pour une contestation sans véhémence (37e), un second pour un geste plutôt maladroit que dangereux (56e).

Mais qu'Ousmane Dembélé et sa bande se rassurent : l'homme en noir de 40 ans reste aussi dans les mémoires pour avoir dirigé le quart de finale retour de C1 la saison dernière face au FC Barcelone. Après la défaite du match aller au Parc (2-3), le PSG s'était imposé au retour en Catalogne (4-1) grâce, notamment, à une égalisation avant la mi-temps du champion du monde 2018 (40e). Et cette fois-ci, c'est l'équipe de Luis Enrique qui avait terminé la rencontre en supériorité numérique, après l'expulsion décisive de Ronaldo Araujo à la demi-heure de jeu (29e). Un carton rouge qui avait clairement changé le cours du match et de la double confrontation. Alors, bis-repetita ce mardi ? Le tout Paris l'espère.

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