MaLigue2
·2 novembre 2024
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·2 novembre 2024
Alors qu’il avait commencé par une victoire à Guingamp et un nul contre Bastia, le Pau FC n’a plus ramené aucun autre point depuis son retour de trêve internationale, alors que cinq matchs ont eu lieu ! Des défaites contre Amiens, Troyes et Annecy (2-0) hier soir, avec 7 buts encaissés, trois penaltys accordés aux adversaires et aucune réalisation marquée mène le coach Nicolas Usaï a faire un bilan très négatif de cet enchaînement de matchs de Ligue 2, qui a été intense et a exposé les vulnérabilité de son club. Même s’il ne faut le voir que comme un concurrent au maintien, le technicien sait très bien que son groupe peut et doit faire beaucoup mieux que cela, surtout quand il a pu jouer aussi longtemps en supériorité numérique au Parc des Sports…
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« Pendant l’entame de match, on est sous l’eau, sous pression. On manque de lucidité par rapport à l’intensité proposée par l’adversaire. À partir du moment où on arrive à répondre aux duels, autour de 20 minutes, on a été en mesure de se créer des situations. Après, on manque de justesse. On n’arrive pas à marquer. Bien entendu, c’est inquiétant. Après cette série de cinq matchs, on est en déficit sur le plan comptable parce qu’on n’a pris que quatre points. Je suis déçu de la tournure du match. »
« Il y avait trop de nervosité. Il faut rester lucides et ne pas se tromper de combat, même si je pense qu’on aurait pu bénéficier d’un penalty pour une faute sur Kandet Diawara. Ce sont des faits de jeu. On doit rester lucides et gérer nos émotions, nos frustration. C’est d’abord se regarder soi-même, notre capacité de jouer, avant de faire un combat avec l’arbitrage qui nous fait sortir du match. »
L’enchaînement des cinq matchs a fait mal
« La gestion psychologique, mentale d’une telle cadence est compliquée. Après le match contre Bastia, on espérait le podium, dix jours après on est en déficit… Il faut simplement qu’on soit dans l’unité et capables de diagnostiquer ce qui ne va pas actuellement »
Source : France Bleu Béarn Bigorre.
Photo Romain Perrocheau/FEP/Icon Sport
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