Olympique-et-Lyonnais
·25 novembre 2024
Olympique-et-Lyonnais
·25 novembre 2024
À une certaine époque, le running-gag "penalty pour Lyon" avait fini par envahir les réseaux sociaux à chaque sortie de l’OL et la réputation d’Alexandre Lacazette chez les supporters adverses s’était par moment limitée à tort à cet exercice. Depuis le début de la saison, ce serait plutôt "pas de penalty pour Lyon" avec plusieurs actions litigieuses qui n’ont pas tourné en faveur de la formation lyonnaise. Dernier exemple en date samedi soir du côté de Reims. Après une première période de haute volée, les joueurs de Pierre Sage ont été rattrapés par leur manque d’envie au retour des vestiaires.
Toutefois, en plus de leurs occasions manquées, ils auraient pu espérer repasser devant au score si Stéphanie Frappart avait choisi de siffler un penalty. Comme l’a déclaré Daniel Congré après le nul (1-1), les dirigeants lyonnais ont eu deux actions litigieuses dans le viseur. Une première avec Malick Fofana qui s’écroule dans la surface après la 70e minute de jeu. Puis une seconde sur Alexandre Lacazette.
Ce dernier n’a pas forcément voulu polémiquer après la rencontre, laissant le soin à ses dirigeants et à la presse de relater les faits ou non. Pour John Textor, il est clair que l’arbitre centrale et la VAR ont pris la mauvaise décision sur l’action menée par Fofana. Comme il a l’habitude de la faire avec Botafogo, le propriétaire américain a utilisé ses réseaux sociaux pour démontrer par A + B, image arrêtée à l’appui, qu’il y avait bien faute sur son protégé belge. "TO : contact (cercle rouge) sur la face postérieure de la jambe gauche du joueur lyonnais en rouge avec force de poussée (flèche rouge) et rupture de la trajectoire de course. Penalty valide non sifflé." Une réaction trop à chaud ? En tout cas, Textor a rapidement supprimé sa publication, mais avec les réseaux, il est vite trop tard.
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