Pep Guardiola : « On sait ce qu’on doit faire » | OneFootball

Pep Guardiola veut renverser les Madrilènes. En guise du match retour des barrages de la Ligue des Champions, le Real Madrid reçoit au Santiago Bernabéu l’équipe de Manchester City ce mercredi 19 février à 21:ooh.

Face aux Merengues, Manchester City n’a rien à perdre. Après avoir perdu le match aller dans leur stade (2-3), les Citizens tenteront de renverser le champion d’Europe dans son stade et devant son public.

Pep Guardiola en conférence de presse

Sur Haaland et le Bernabéu :« Haaland a déjà été capitaine il y a trois ans. Demain, nous avons besoin d’un match parfait, d’autant plus après le résultat du match aller. C’est un peu comme si vous alliez à Anfield ou à Barcelone »

Sur Grealish : « Grealish a fait un bon match, mais nous ne savons pas à quel point c’est symptomatique. Mais j’espère qu’il pourra jouer comme ça jusqu’à la fin de la saison. »

Sur la confrontation : « On s’en fiche des équipes, surtout à ce stage de la compétition. Tu es obligé de faire un match parfait. On doit attaquer et marquer des buts, c’est l’idée. »

Sur Manchester City : « À la fin de la saison, nous verrons. Cela pourrait être la dernière fois en Ligue des Champions cette saison. »

Sur la pression mise sur les arbitres : « Je ne pense pas que cela affecte ou qu’il y ait de la pression sur les arbitres. Cet homme veut bien faire parce que toute la planète le regarde. Parfois ils se trompent et parfois non. »

Sur une protestation de ses joueurs envers l’arbitre : « Je ne dirais jamais jamais, mais j’essaierais qu’ils n’aillent pas vers eux. Dans certaines situations, je ne sais pas qui est l’arbitre »

Sur les souvenirs au Bernabéu : « Le stade a beaucoup changé. L’ancien Bernabéu était différent. Cela fait une semaine qu’on a joué face au Real Madrid. On sait ce qu’on doit faire. »

Sur les possibilités de Manchester City : « Tu crois qu’on a 1% de possibilité? Chaque fois que je dis ce que je pense vous pensez que je mens. Ce n’est pas le meilleur résultat, mais on ferra le meilleur pour passer (rires). »

Sur Julián Alvarez : « Je ne me sens pas responsable. Le club amène des joueurs exceptionnels. On voulait qui reste mais il a décidé de partir. Tout le temps qu’on a eu avec lui, on a été heureux. Cette année il aurait plus joué. »

Sur l’expulsion de Jude Bellingham : « Je n’ai jamais compris la différence entre el « fuck you » et le « fuck off » (rires). Il y a toujours eu des insultes dans le monde du football. C’est l’intention de Jude qui compte. »

Sur les derniers revers : « Il y a beaucoup de choses qui ont fait que nous jouons moins bien. Nous avons été une machine pendant huit ans, et personne ne l’a fait en Angleterre. Quand je dis que c’est difficile, c’est parce que je connais mon équipe, et je ne me trompe pas moi-même. Je sais de quoi nous sommes capables demain et de ce que nous avons fait cette année. À cela s’est ajouté le fait que les quatre défenseurs ont joué 90 minutes, mais cela arrive au Madrid, à Arsenal, à tous, ce qui se passe avec ce calendrier. Cette année, nous n’avons pas été capables de le surmonter. Nous venons non pas pour défendre quelque chose, mais pour gagner »

Ben Fernandes Santos