Pierre Dréossi fait le point sur les départs et les arrivées avant la fin du mercato | OneFootball

Peu avant la rencontre contre le Panathinaïkos, en barrages aller de Ligue Conférence, Pierre Dréossi, directeur général du Racing Club de Lens, a fait le point sur le marché estival. Au micro de Canal+, le DG a avoué qu’il y aurait du mouvement dans l’effectif Sang et Or avant la fin du mercato, fixé le 30 août.

Dans le sens des arrivées, il y a tout d’abord celle qui a été officialisée quelques heures avant la rencontre du Panathinaïkos. Le RC Lens a annoncé sa septième recrue avec Anass Zaroury. Cependant, cette arrivée ne sera pas la dernière. « Notre première volonté était de réduire l’effectif, de trouver un équilibre un peu plus économique tout en gardant l’ambition. Au niveau des arrivées, on a accueilli un numéro 10 (Ndlr. Anass Zaroury) et on va faire un attaquant (Ndlr. Martin Satriano) je pense qu’on est complet », explique le directeur général.

Quelques départs attendus

Du côté des départs, les supporters doivent également s’attendre à voir des visages partir. Jeudi soir, lors du succès contre le Panathinaïkos, certains joueurs étaient hors groupe par choix du coach. Ainsi, on peut présumer qu’ils sont sur la liste des possibles départs. On évoque donc : Ayanda Sishuba, Salis Abdul Samed ou encore Stijn Spierings. D’ailleurs ces deux derniers s’entraînent avec l’équipe réserve. « Il reste encore à peaufiner l’effectif pour qu’il soit moins complet et que chaque joueur puisse se focaliser sur ce qu’il a à faire. Il y aura un peu plus que deux départs », précise-t-il.

Et puis, il y a le cas Kévin Danso, titulaire contre Angers et le Pana. « Concernant Kévin Danso, il va surement nous quitter, si on a quelque chose d’intéressant. Il y a des discussions mais on n’en est pas encore là. Il n’y a aucun accord avec aucun club. Kevin est un joueur très important de l’effectif et on serait très content de pouvoir le garder, mais je ne suis pas certain qu’on puisse. En tout cas, on fera aucun effort pour qu’il parte », commente Pierre Dréossi.