OnzeMondial
·17 décembre 2024
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·17 décembre 2024
À la veille du choc face à l'AS Monaco, Luis Enrique, le coach du Paris Saint-Germain, s'est présenté face aux médias.
Le Paris Saint-Germain veut bien terminer l'année ! Demain soir, en match avancé de la 16e journée de Ligue 1, Trophée des Champions oblige, le club de la capitale se rend en Principauté pour affronter l'AS Monaco à l'occasion d'une affiche entre le leader et le troisième du championnat. Un choc alléchant sur le papier. À la veille de ce choc, Luis Enrique s'est présenté face aux médias pour sa traditionnelle conférence de presse ! Interrogé sur le retour à la compétition de Presnel Kimpembe, l'Espagnol n'a pas été franchement rassurant.
"Je n'en ai aucune idée. C'est un cas très différent, ça fait deux ans qu'il ne joue pas de façon continue. Il y a eu deux rechutes de blessures différentes. Ce serait très risqué d'accélérer le processus. Les entraînements et la charge de travail indiqueront son évolution. C'est plus physique que médical. Mais je ne sais pas quand il sera parfaitement compétitif" a-t-il déploré avant de revenir sur la performance de Monaco face au Barça en Ligue des champions : "Contre Barcelone, Monaco a eu une circonstance assez cruciale. Le Barça a joué avec un joueur de moins pendant longtemps. Bien sûr, Monaco a un niveau très haut, avec un niveau individuel très haut, des joueurs qui déséquilibrent beaucoup, c'est un peu le même profil que l'OL. Sur le plan défensif, Monaco s'est amélioré. C'est une équipe très dure à jouer. Il faudra une très bonne version de notre équipe. Nous avons l'habitude d'être à la hauteur dans ces matchs."
Le coach parisien s'est aussi prononcé sur sa relation avec Ousmane Dembélé : "Dembélé, je le vois comme toujours. Je le connais très bien, ça fait des années que je le connais. Je l'ai toujours défendu en tant que joueur. C'est une personne très sympathique. Et voilà. À partir de là, je veux qu'Ousmane donne la meilleure version de lui-même. C'est la même chose avec tous les autres joueurs. Quand je prends une décision avec un joueur, si je considère qu'il faut agir ainsi pour le joueur et pour l'équipe, je le fais. J'aime être proche des joueurs, être en contact continu, mais je n'y arrive pas avec tout le monde. Mais quand un joueur n'a pas très envie de me voir, j'essaie de respecter son espace et d'accepter sa position. Mais j'aime communiquer avec mes joueurs, qu'ils aient cette liberté pour me dire ce qui est opportun. Mais mon travail, je le connais, je sais ce que je dois faire. Mes décisions dépendent de ce que je vois. Je finis toujours par dire que je peux me tromper, mais que je me trompe avec mes idées et pas celle des autres."
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