Lensois.com
·26 janvier 2025
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Ce dimanche 26 janvier, le Racing Club de Lens accueillait Angers pour le compte de la 19e journée de Ligue 1. Le RC Lens l’a emporté 1 but à 0. Une réalisation de Przemyslaw Frankowski au cours de la deuxième période. Voici les tops et les flops de la rédac’.
Przemyslaw Frankowski : Peu de déchets au cours de cette rencontre pour le latéral polonais. Des bons centres (17e) ou passes en profondeur (2e, 59e), des bons appels en profondeur et surtout une bonne présence physique en défense (15e, 22e, 53e, 57e, 61e). Sa vitesse, son anticipation et sa gnaque ont empêché bon nombre d’attaques angevines sur son côté. Présent offensivement, cela lui permet de récupérer le centre à ras-de-terre de Medina. D’un calme olympien, il ajuste le gardien pour ouvrir le score. Il est à deux doigts de s’offrir le doublé à la 57e.
Jonathan Gradit : Peu de pression sur la défense tant les attaquants angevins n’ont pas pesé sur la rencontre. Cependant, le défenseur a écarté les quelques dangers dans le camp lensois. Il a parfaitement lu et coupé des trajectoires (35e, 45+2e, 45+6e). Il a également fait parler son expérience avec des bonnes interceptions (68e).
Malang Sarr : Dans une défense à 4 lors du premier acte, puis au coeur de la défense à 3 lors de la seconde période, Malang Sarr a réalisé une rencontre très propre. Alors, la pression offensive d’Angers n’était pas extraordinaire, mais le défenseur a été propre dans la majeure partie de ses interventions.
Florian Sotoca : Il a commencé par un bon centre en retrait (2e), puis… c’est à peu près tout. Il a raté de nombreuses transmissions (8e, 18e, 29e, 33e). Sa première frappe en début de match au point de pénalty est beaucoup trop molle (3e). Il sort sur blessure juste avant la pause.
Angelo Fulgini : A l’autre aile, le numéro 11 a semblé à contre-temps dans ses contrôles et ses transmissions. Il a tenté sa chance deux fois, mais ses frappes ne trouvent pas le cadre (16e, 45e). Il a été approximatif à l’image de ce contrôle raté à la 57e qui offre une balle de contre aux Angevins. Sa louche pour le but refusé de Nzola aurait pu sauver son match (66e). Il a été remplacé à la 67e minute.
Goduine Koyalipou : Difficile de le trouver. Il a pris deux fois sa chance dont une deuxième frappe lointaine et très difficile (37e). Par deux fois, ça passe loin du but. Il a tenté des dribbles sans réussite (72e). Trouvé à la 68e minute dans la surface, l’attaquant tergiverse trop avant de décrocher sa frappe et se fait subtiliser la gonfle. A la 77e minute, c’est sa première frappe dans la surface, qu’il dévisse complètement. Son entente avec Nzola n’a pas beaucoup sauté aux yeux.
M’Bala Nzola : A la différence de Koyalipou et c’est son point positif, c’est qu’on arrive à le trouver. L’attaquant se procure des bonnes occasions, mais son déchet technique annihile tout. Il a été sifflé de nombreuses fois (34e, 75e, 78e) et notamment un hors-jeu (66e) qui lui empêche d’inscrire le but du break. Puis, dans la surface, il a vendangé (13e, 45+1e). D’ailleurs sur le but, il rate également sa reprise sur le centre de Medina, heureusement Frankowski avait suivi. Le point positif, c’est qu’il continue à gagner ses duels aériens sur les dégagements de sa défense. Son entente avec Koyalipou n’a pas beaucoup sauté aux yeux.