Le Petit Lillois
·24 juin 2024
Le Petit Lillois
·24 juin 2024
Cela faisait huit ans que les États-Unis n’avaient plus participé à la compétition. Devant leur public, ils ont surpassé la Bolivie au cours de la nuit, portés par Timothy Weah et Christian Pulisic.
La Suisse tenait la dragée haute à l’Allemagne (1-1), la Hongrie s’offrait un succès au bout du bout en hommage à Barnabas Varga, victime d’une commotion cérébrale en plein match, mais il ne fallait surtout pas aller se coucher. Outre-Atlantique, là où la nuit trépasse et les lumières dansent, les États-Unis retrouvaient les joies de la Copa América, huit ans après avoir atteint les demi-finales. Plus ambitieux que jamais, ils ont déroulé dans le Texas, à Arlington. Dès la 3e minute, ils ont surpris la Bolivie à l’aide du duo composé de Timothy Weah et Christian Pulisic. Les deux hommes ont rapidement joué un corner, le premier nommé servant le second qui, à peine rentré dans la surface, décochait une frappe limpide en pleine lucarne (3′). Cette réalisation annonçait la couleur…
La partie a été outrageusement dominée par Timothy Weah, passeur décisif, & Co avec 57% de possession, 25 tirs à 6… Pour matérialiser cette physionomie, Balogun inscrivait le but du break (43′) juste avant la pause. La suite ? Le scénario d’un match à sens unique s’est encore accentué, sans néanmoins que la Bolivie ne s’écroule définitivement. Ses hommes peuvent d’ailleurs remercier leur portier, auteur de 5 parades décisives en deuxième période. Peu importe, les États-Unis se contenteront de cet écart (2-0), seconds du groupe C derrière l’Uruguay, vainqueur du Panama (3-1). Aligné sur l’aile droite, Timothy Weah a été entreprenant, parfois virevoltant même.
La composition des États-Unis : Turner – Scally, Richards, Ream, Robinson – McKennie (de la Torre 78′), Adams (Musah 46′), Reyna (Cardoso 65′) – Weah (Aaronson 86′), Balogun (Pepi 65′), Pulisic
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