Bruno Irles : « Les dirigeants sont encadrés, et c’est normal, pour respecter le redressement, et se donner le maximum de chances pour réussir, et ne pas dépenser pour rien » | OneFootball

« Je suis en National 2, mais je suis aux Girondins de Bordeaux, donc c’est vrai qu’au niveau du club, j’avance dans ma carrière. Je me replonge dans du National, National 2… On sait qu’il y a eu un ruissellement des effectifs par rapport à la Ligue 1 et la Ligue 2 qui sont tombés à 18 clubs, donc il y a beaucoup de joueurs de Ligue 2 ou de National qui se retrouvent dans cette catégorie, avec seulement trois groupes. Il n’y a seulement qu’une équipe qui monte chaque saison, donc c’est très compliqué. Ça l’est d’autant plus dans le contexte des Girondins dans lequel je suis arrivé à la fin du mois d’août ».

« Non, je n’ai pas de joueurs qui ont un métier dans mon groupe, et la majorité des joueurs en National 2 ont des contrats fédéraux, et vivent du football, même s’ils n’ont pas les salaires de la Ligue des Champions […] On a des contrats de travail. Le problème de la période de redressement judiciaire, c’est qu’on est surveillés. On ne peut pas faire n’importe quoi. Quand on signe un contrat, on signe aussi avec l’administrateur judiciaire, qui représente le tribunal. On doit faire valider le contrat. Les dirigeants sont encadrés, et c’est normal, pour respecter le redressement, et se donner le maximum de chances pour réussir, et ne pas dépenser pour rien »

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