Florian Gautreau (After RMC) : « Téji Savanier à deux cent dix mille euros bruts, une contre publicité pour la Ligue 1 » | OneFootball

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·29 Maret 2025

Florian Gautreau (After RMC) : « Téji Savanier à deux cent dix mille euros bruts, une contre publicité pour la Ligue 1 »

Gambar artikel:Florian Gautreau (After RMC) : « Téji Savanier à deux cent dix mille euros bruts, une contre publicité pour la Ligue 1 »

Dans l’After Foot sur RMC, Florian Gautreau a donné son avis sur les salaires des joueurs évoluant en Ligue 1. Des revenus qui, selon lui, sont bien souvent trop élevés au regard des performances de certains. L’exemple de Téji Savanier a d’ailleurs été évoqué pour illustrer ses propos et démontrer que le modèle économique français ne tourne pas rond.

« En Angleterre, on ne se plaint pas qu’un joueur d’un club moyen soit bien payé puisqu’en face il y a des droits télés qui correspondent. En France, on a des droits télés qui ont été souvent surévalués et maintenant très bas et aussi une vieillerie ancienne qui est que l’on paye trop des joueurs moyens ?


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L’histoire de (Téji) Savanier , elle est édifiante pour cela. (Téji) Savanier, on sait ce qu’il est, il a été brillant, brillant techniquement mais ce n’est plus un sportif de haut niveau. Je l’ai vu récemment, il n’est pas au poids de forme, il y a un soucis. En plus, il a donné son salaire, il est à deux cent dix mille euros brut. C’est une contre publicité énorme pour la Ligue 1. C’est un bon joueur, certes, dans un club pas très bien géré d’ailleurs même s’il reste la star de son club. Il est fort mais quand même. N’a-t-on pas plein de joueurs en France qui s’en sortent bien ? En France, il y a des joueurs qui disent eux-mêmes qu’ils ne sont pas mal lotis. »

Le débat s’est ensuite ouvert sur des possibilités de gestion avec notamment des parts variables en fonction des performances des joueurs : « Pourquoi est-on toujours sur des salaires fixes ? Cela peut paraître fou quand on vient du monde l’extérieur, du monde de l’entreprise. (…) Le fait que de ne pas jouer du tout n’impacte pas le salaire, le nombre de match, le nombre de minutes…(…) Il faut que les joueurs ne soient pas certains d’avoir des salaires sur une durée de contrat sans jouer. »

Il a été notamment évoqué les parts variables des salaires qui représentent une part de trente pour cent en Allemagne. Certains décisionnaires français feraient bien de s’en inspirer pour éviter de surpayer des joueurs hors de forme et qui n’apportent aucune plus-value à l’effectif.

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