Luis Enrique (PSG) avant Stuttgart : "J’ai un niveau de tranquillité égale à zéro" | OneFootball

"Après analyse, je ne suis pas surpris de leur deuxième place la saison passée. Ils ont des joueurs de haut niveau, des internationaux. C'est une équipe qui attaque très bien et qui sait aussi bien défendre. Ils mettent bien la pression. C'est une équipe très difficile à jouer. C'est une équipe du chapeau 4 mais avec un niveau supérieur à la majorité des équipes de ce chapeau. Ce match va être difficile, aussi parce que nous jouons chez eux."

"C'est le dernier match de la phase de ligue, je pense que nous sommes prêts. La Ligue des Champions est motivante pour toute l'équipe. A mon avis, on doit penser à jouer de la même façon et on doit être prêt à jouer avec la même mentalité dès les premières minutes. On l'a fait cette saison et on doit encore le faire. Je suis aussi tranquille que pour chaque match de Ligue des Champions. Ce qui veut dire que j'ai un niveau de tranquillité égale à zéro ! Je suis prêt pour cette compétition, je suis prêt pour ce nouveau format qui réserve beaucoup de surprises et je suis prêt pour jouer contre un rival qui joue très bien au football."

"L'équipe que nous avons, nous souhaitons qu'elle avance étape par étape. Nous voulons avoir plus de possibilités et de ressources. La concurrence est vitale pour avoir une équipe saine car l'équipe peut mieux jouer. J'ai le soutien de la direction sportive du club, du staff et de l'équipe. Depuis l'année dernière, l'objectif est de créer une équipe meilleure."

"C'est toujours pareil. Quand un joueur évolue au PSG, la pression est là à chaque match et tous les jours. Tous les joueurs savent que nous n'avons rien fait et que nous avons besoin de gagner pour valider notre qualification. Il faut regarder cette rencontre comme les autres matchs. Nous n'avons pas eu à préparer ce match de manière différente. On l'a préparé comme celui de Gérone. C'est exactement pareil. On cherche à avoir une meilleure équipe à chaque match, à chaque compétition. Et oui, la pression est là à chaque match."

"Je ne joue pas avec un numéro 10. N'importe quel numéro 10 aurait du mal. On occupe les espaces différemment. On a sept joueurs offensifs pour trois postes différents. Donc je cherche à voir comment ils attaquent, comment ils défendent. On cherche aussi de la polyvalence et comme les joueurs peuvent améliorer l'équipe. Je suis satisfait de mes joueurs, on a besoin de tous les joueurs. Mais je ne vois pas les choses comme vous."

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