Paris FC – Stéphane Gilli après Rodez (1-1) : « Il y a de la fatigue psychologique, mais on n’a pas lâché » | OneFootball

C’est une mauvaise opération que réalise le Paris FC ce samedi 26 avril 2025, sur la pelouse de Rodez ! Alors qu’il menait au score dans le premier acte grâce à l’audace de Marchetti, le club de la capitale a perdu deux points en reculant trop en deuxième mi-temps et en concédant un but mérité du RAF, signé Bentayeb (1-1). En cas de victoire de Metz pour finir la 32e journée de Ligue 2, le PFC pourrait n’avoir qu’un point d’avance sur ses poursuivants dans le sprint final. En conférence de presse, Stéphane Gilli pouvait tout de même être heureux de rapporter un point de ce périlleux déplacement, qui aurait même pu être une défaite étant donnée la physionomie de la fin de la rencontre et l’expulsion de Julien Lopez.

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Un Paris FC bousculé, mais pas vaincu

« Il y a quelques légers regrets car au vu de la première mi-temps et du face à face en début de deuxième, je pense qu’on aurait pu marquer le 2-0. Il y a de la fatigue physique, on en parle souvent, mais il y a aussi de la fatigue psychologique qui joue beaucoup dans ces fins de saisons. C’est dur de finir une saison. Ça a été dur toute l’année, je trouve qu’il y a vraiment un niveau élevé en Ligue 2. Un observateur qui n’y connaîtrait rien ne dirait pas que Paris était 2e et Rodez 14e avant le match. Mais je peux féliciter mes joueurs de ne pas avoir lâché dans les derniers instants. On était acculés, on a subi mais on a toujours mis le pied, le contre pour pouvoir ramener ce point. Et garder notre destin en mains, ce qui est très important dans ce sprint final avec trois candidats à la montée. »

Photo Sylvain Thomas/FEP/Icon Sport.