PSG - Inter : un arbitre ultra polémique au sifflet ? | OneFootball

À l'approche de la grande finale de la Ligue des Champions, l'UEFA avance sur le nom de celui qui arbitrera le choc entre le Paris Saint-Germain et l'Inter Milan le 31 mai à Munich.

La finale s’annonce chaude ! À mesure que le choc tant attendu entre le Paris Saint-Germain et l’Inter Milan approche, une autre bataille se joue en coulisses : celle de l’identité de l’arbitre. Et le nom qui circule fait déjà grincer des dents.

Le 31 mai à Munich, le Paris Saint-Germain va disputer le match le plus important de son histoire. Mais alors que les projecteurs devraient être braqués sur Dembélé et les siens, un autre acteur s’invite déjà dans le débat : Szymon Marciniak. Le Polonais, arbitre star de l’UEFA, est pressenti pour diriger cette affiche. Problème : il sort d’une demi-finale très controversée... avec l'Inter Milan.

Des décisions lourdes de conséquences

Ce soir-là, Marciniak et son équipe VAR ont été au centre de l'attention et des critiques en Espagne. Fautes oubliées, penalties litigieux et usage discutable de la vidéo, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer une prestation jugée "désastreuse". Certains n’ont pas hésité à parler d’un arbitrage "à sens unique", notamment en Catalogne qui aurait grandement facilité la qualification de l’Inter.

Et pourtant, malgré cette prestation décriée, Marciniak pourrait recevoir la récompense suprême en arbitrant la finale de la Ligue des champions. C’est en tout cas ce qu’affirme l’ancien arbitre international néerlandais Mario van der Ende : « Marciniak pourrait être l’arbitre désigné pour la finale de la Champions League », a-t-il lâché, dans des propos rapportés par Sport.

Un choix "logique", mais contesté

Pourquoi lui ? Parce que ses deux concurrents sérieux, Clément Turpin et François Letexier, sont Français – et donc écartés d’office pour un match impliquant un club hexagonal. L’UEFA se retrouve donc avec un choix restreint.

D’autant que la règle non écrite voulant qu’un arbitre ne puisse pas diriger la finale après avoir officié en demi-finale n’a, selon van der Ende, « rien d’officiel ni de gravé dans le marbre ». Une simple pratique, que l’instance européenne pourrait donc contourner sans enfreindre ses propres règlements. Un choix qui pourrait forcément faire parler.

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