Valentin Vada : « A ce moment-là il ne voulait pas partir de Nantes mais bon, il y avait cette opportunité-là. C’était son rêve » | OneFootball

« Si Laborde avait un mental ? Il avait un sacré mental. Celui qui l’avait aussi, c’était Emi (Sala). Aux entraînements, aux matchs, tout le temps. Pour les défenseurs il était chiant à prendre, il était partout. Il m’a appris à tout combattre, dans ta carrière, dans ta vie au quotidien  parce qu’il a tout su surpasser. Ça n’a pas été facile pour lui et il avait touché le ciel avec ce transfert. Il avait accompli son rêve, c’était de jouer en Premier League. Mais à ce moment-là il ne voulait pas partir de Nantes mais bon, il y avait cette opportunité-là. C’était son rêve. »

« Il était chiant à prendre, mais c’était une belle personne, toujours avec le sourire. »

« Des joueurs qui m’ont beaucoup aidé, il y avait Greg Sertic. Il avait une personnalité qui m’a aidé, Nico Pallois aussi, Cédric Carrasso… Ce sont des joueurs qui m’ont aidé, Younousse Sankharé aussi. T’es jeune et tu sais qu’ils sont là pour toi. A ce moment-là j’étais jeune, je venais de commencer à jouer, à gagner mon poste. Ils étaient là pour me soutenir. Ce sont des historiques de Bordeaux. Le meilleur coach que j’ai eu ? Pour moi il y en a deux. Gourvennec, mais pour moi le meilleur c’était Jean-Louis Gasset. Les six mois que j’ai passé à Saint-Etienne… C’est le meilleur coach que j’ai eu. »

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