« Je ne lâcherai pas et donnerai tout » assure Lucas Chevalier après LOSC – RC Strasbourg | OneFootball

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Le Petit Lillois

·22 settembre 2024

« Je ne lâcherai pas et donnerai tout » assure Lucas Chevalier après LOSC – RC Strasbourg

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Opposé au RC Strasbourg, le LOSC avait la maîtrise des événements avant de basculer dans une rencontre à rebondissements et concéder le nul (3-3). Malgré la série de mauvais résultats, Lucas Chevalier reste confiant et positif. Il ne lâchera pas et donnera tout pour l’équipe.

L’après-midi a été tumultueux pour les Dogues, neutralisés par les Strasbourgeois sur la pelouse de la Decathlon Arena – Stade Pierre Mauroy, devant un public agacé par les errements défensifs de leurs protégés. Cette solidité, uniquement symbolisée par Lucas Chevalier ce samedi malgré trois buts encaissés (3-3), a justement été commentée par le portier : « À la mi-temps, j’étais très énervé et 45 minutes plus tard, c’est un peu l’inverse. C’est ça le football, et moi aussi je le sens que l’on est plus fébrile, que l’on concède plus d’occasions et plus de buts. Je suis le premier à râler dans le vestiaire ou à m’en vouloir parce qu’on ne veut pas prendre de buts. Je n’aime pas ça, affirme le dernier rempart du LOSC. Mais qu’est-ce qu’on fait ? On s’écroule ? On va de plus en plus profond ? C’est impossible aujourd’hui de lâcher et en tout cas, moi, je ne lâcherai pas et je pense qu’on l’a vu aujourd’hui. Je donnerai tout. Il y a des semaines d’entraînement. On va bosser et je suis sûr qu’il suffit d’une victoire pour entamer une série positive », martèle le portier lillois.


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Néanmoins, comment expliquer cette fébrilité excessive ? « Je suis gardien de but, vous savez, et je ne vais pas commencer à faire des reproches aux attaquants, aux défenseurs ou aux milieux de terrain. J’aimerais aussi avoir des explications, mais je reste persuadé que ça reste avant tout un problème de confiance et de dynamique qui fait un effet boule de neige. Je pense qu’aujourd’hui, la boule de neige s’est explosée contre un rocher et qu’il n’y a plus rien maintenant. On peut avancer », concluait ainsi Lucas Chevalier en zone mixte, dans les entrailles de l’enceinte villeneuvoise.

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