OnzeMondial
·13 de novembro de 2024
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·13 de novembro de 2024
À la veille du choc face à Israël en Ligue des Nations, Didier Deschamps était présent en conférence de presse.
Demain soir, l'équipe de France retrouve le chemin des terrains pour son avant-dernier match de 2024 en accueillant Israël au Stade de France à l'occasion d'une rencontre forcément particulière dans le contexte actuel. À la veille de cette affiche, Didier Deschamps, le sélectionneur national, s'est présenté face aux médias pour sa traditionnelle conférence de presse. Et sans surprise, il a évoqué le contexte pesant de cette rencontre : "On a fait en sorte de préparer ce match le plus normalement possible. Dans l'ensemble du groupe France, personne ne peut être insensible à un contexte qui est lourd et pesant. Mais on essaye de faire en sorte que ça reste un match de foot. On sait à quoi s'attendre. Ce sont les raisons qui sont plus embêtantes voire plus. Le constat, il est celui-là. C'est comme ça. Je vais sortir le mot habituel : s'adapter. Se focaliser sur ce qu'on doit faire sur le terrain" a-t-il déclaré dans des propos rapportés par RMC Sport avant de se prononcer sur les présences d'Emmanuel Macron, de François Hollande et de Nicolas Sarkozy : "Je ne m'occupe pas des personnalités qui veulent être au stade. Qu'il y ait le président et d'autres présidents... tant mieux... Je n'ai pas de commentaire particulier à faire sur leur présence."
Le sélectionneur national s'est aussi penché sur la situation en club de Randal Kolo Muani : "On a peu de temps. Il a eu une séance comme trois joueurs qui avaient peu ou pas joué, c'était lundi. Le contexte est différent pour lui, ce n'est pas l'idéal. Je ne sais pas ce qu'il se passe à Paris. Dans l'idéal, s'il avait plus de temps de jeu ce serait mieux pour lui mais bon c'est comme ça. Olivier Giroud, pendant une période à Chelsea, il ne jouait plus du tout. Ce n'est pas l'idéal mais il joue au PSG et je ne vais pas parler de ce qui se passe là-bas."
Enfin, il a conclu sur les retours de Benjamin Pavard et de Kingsley Coman tout en répondant à quelques critiques sur le fait de ne pas avoir plutôt fait appel à des nouvelles têtes : "Je ne suis pas là pour prendre du nouveau pour faire du nouveau. Je peux toujours faire différemment mais par rapport à l'objectif sportif qui est le nôtre d'assurer cette qualification, il y a aussi des blessures, ça limite nos choix."
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