AllezPaillade.com
·09 de novembro de 2024
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Mamadou Sakho en a fait pendant plusieurs semaines son cheval de bataille. Récemment invité de Canal+ Sport Afrique, l’ancien défenseur du MHSC revenait sur cette altercation avec Michel Der Zakarian, dans les vestiaires de Grammont, et en donnait sa vision: « J’ai pris le temps, je me suis dit qu’il fallait nettoyer mon nom. »
Pour So Foot, à l’occasion du dernier numéro paru dans la semaine, c’est Michel Der Zakarian, à son tour, qui évoquait cette altercation et reconnaissait dans un premier temps qu’il n’y avait jamais eu de balayette: « Dans ces moments-là, les journalistes trouvent encore d’en rajouter, en inventant des conneries, comme cette histoire de balayette que Sakho m’aurait mise ».
Crédits Iconsport
A la suite, le journaliste l’interroge alors précisément sur cette scène, l’ancien entraineur Pailladin développe: « Déjà, au départ, il était énervé parce qu’il n’avait pas joué la veille. Lors de la séance d’entrainement, il est frustré parce qu’il y aurait eu deux fautes sur lui qu’on n’aurait pas sifflé. Ça arrive… Et d’un coup, on le voit partir et quitter le terrain. « Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu as mal quelque part ? » Il ne répond pas et rentre au vestiaire. Quand je le rejoins, il se plaint que je ne le respecte pas etc. « Qu’est ce que tu racontes ? Bon, prends ta douche. »
Je vais voir le kiné à côté et je l’entends qui rumine, qui crie fort. Je lui dis: « Maintenant, tu la fermes. Tu rentres chez toi et on se revoit demain. » Et là, il est arrivé et s’est mis tête contre tête avec moi. Je le pousse, mais il m’a pris par le colback. Il m’a serré fort au cou, et c’est un costaud, lui, oh, il m’étouffait ! Après, les joueurs sont arrivés pour nous séparer, et quand il a fini par lâcher prise, je suis tombé en arrière. Ca s’est arrêté là. Donc cette histoire de balayette, il a raison, c’est faux. J’ai appris que lui, depuis, il ressasse cette histoire sans arrêt. Les gars, ils passent leur temps à balancer leur vie sur les réseaux sociaux… Bah moi, je suis pas dessus, je m’en fous. Il fait ce qu’il veut. »
Le chapitre est clos.
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