Le Petit Lillois
·27 de novembro de 2024
Le Petit Lillois
·27 de novembro de 2024
Membre expérimenté du vestiaire lillois, Thomas Meunier était en conférence de presse ce mardi. Il introduisait avec méfiance le duel à venir entre le LOSC et Bologne en Ligue des Champions.
Après le Portugal (Lisbonne) et l’Espagne (Madrid), le LOSC se déplace en Italie, et plus précisément à Bologne, pour affronter l’équipe menée par Vincenzo Italiano, ancien entraîneur de Jonathan Ikoné à Florence. Ce dernier a pris la suite de Thiago Motta, face auquel les Dogues se sont retrouvés lors de leur dernière sortie en Ligue des Champions. « Je le connais bien pour avoir joué avec lui à Paris et j’ai suivi Bologne la saison dernière, reconnaissait Thomas Meunier en conférence de presse ce mardi. Après une saison aussi exceptionnelle, il faut confirmer et ce n’est pas toujours facile de faire face à la perte de son entraîneur et de certains joueurs importants pendant l’été. C’est pour cela qu’ils sont dans une période moins faste », débutait le Belge.
Sur le papier, Bologne semble être un adversaire moins féroce que ne l’étaient les quatre dernières équipes rencontrées, mais « je peux vous assurer que le staff est bien présent autour de nous et qu’il est là pour remettre les pendules à l’heure lorsqu’il y a un petit relâchement, poursuivait Thomas Meunier. Tout le monde est concentré. Depuis le début de la saison, on voit une équipe de Lille qui est intransigeante, professionnelle. Je pense que personne dans le groupe ne prend ce match à la légère. […] On est déjà à notre cinquième match de Ligue des Champions. On a vu notre potentiel, ce que l’on pouvait faire et je pense qu’il n’y a plus d’hésitation désormais. On donne tout lorsque l’on est sur le terrain. »
Malgré tout, le LOSC peut tout de même aborder le rendez-vous à venir avec un état d’esprit plus optimiste : « On récupère de nombreux joueurs qui étaient blessés, et c’est clairement un point positif. Pour le reste, il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Bologne est une équipe qui se cherche un petit peu, mais qui n’a besoin que d’un déclic pour faire un match référence. Et la Ligue des Champions peut être le genre de scène idéale pour ça. Je ne dirais pas que l’on part ultra-favoris. Je pense que l’on a toutes nos chances si l’on se montre méfiant. […] J’espère que demain, nous gagnerons aussi et que nous nous rapprocherons de la qualification », concluait-il.
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