Olivier Létang (LOSC) : « Parler de baraka, c’est manquer de respect à tout un club » | OneFootball

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·03 de fevereiro de 2025

Olivier Létang (LOSC) : « Parler de baraka, c’est manquer de respect à tout un club »

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Parfois ramené à une éventuelle réussite pour expliquer les grands coups de sa saison, le LOSC a été vertement défendu par son président en conférence de presse. Olivier Létang préfère évoquer la qualité du travail produit et note que son club est en capacité de répéter ses “exploits”.

Olivier Létang ne veut pas entendre parler de chance pour le LOSC

Depuis le début de saison, aussi bien ponctuellement (Real Madrid, Atlético de Madrid, Marseille en Coupe de France…) que sur la durée (toujours en lice dans toutes les compétitions en étant bien placé), le LOSC marque les esprits en France et écrit l’histoire à son échelle. Et si l’apport de Bruno Genesio, notamment dans sa gestion d’effectif et sa capacité à concerner tout son groupe tout en restant performant malgré les blessures, est souvent mis en avant, une certaine réussite est aussi parfois soulignée, notamment par certains observateurs ou même par Thomas Meunier, samedi soir après la victoire contre Saint-Étienne.


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Thomas Meunier (LOSC) : « Un bon présage d’avoir autant de chance »

« Ce n’est pas un coup de gueule, mais j’ai lu ou vu beaucoup de choses, y compris venant de chez nous, embrayait Olivier Létang en conférence de presse de sa propre initiative, avant de rectifier. Parler d’exploit contre Marseille, parfois de baraka, de chance, de miracle permanent, cela me surprend car c’est un manque de respect à tout un club et tous ceux qui y travaillent. Si vous faîtes une fois une grande performance, peut-être que vous avez de la chance. Mais moi, je ne crois pas en la chance, je crois dans les valeurs du travail et d’engagement à tous les niveaux du club. On a fait 34 matches. Si on a eu 34 fois de la chance, il suffirait d’invoquer de la malchance quand on perd. Mais quand on a des résultats positifs qui se répètent… »

Et de conclure, préférant mettre en avant la qualité du travail produit au Domaine de Luchin plutôt que d’éventuels coups du destin : « Je veux aussi tirer un coup de chapeau à toutes celles et tous ceux qui s’engagent dans le club. Le club est fort, il y a beaucoup de compétences en interne. S’il y a ce niveau de performance, c’est qu’il y a beaucoup d’engagement, de professionnalisme, de compétences, sans oublier l’aspect humain qui est clé dans le sport collectif ».

Enzo PAILOT, à Camphin-en-Pévèle

Crédits photo : Anthony Bibard/FEP/Icon Sport

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