MadeInFOOT
·27 de novembro de 2024
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Dans l'After Foot sur RMC, ce mardi soir, Daniel Riolo a critiqué les choix de Luis Enrique après la défaite du PSG face au Bayern Munich (1-0, J05 LDC), ce mardi soir.
Défait pour la troisième fois en cinq rencontre, le PSG est au bord du précipice en Ligue des Champions. Actuellement à la 25ème place, les Parisiens sont en-dehors des places qualificatives pour les barrages en février prochain. Une élimination catastrophe est donc bel et bien possible après cette nouvelle désillusion sur la pelouse du Bayern Munich (1-0, analyse et notes). Sur RMC, après la rencontre, Daniel Riolo est revenu sur le choix fort de Luis Enrique : la titularisation de Matvey Safonov à la place de Gianluigi Donnarumma.
"Les arrêts qu’il fait, Donnarumma les fait aussi tous les jours. Le problème, ce n’est pas la bourde, c’est pourquoi se mettre dans l’embarras dans ce jeu avec les gardiens? ‘Je te mets toi, je te mets toi’. Maintenant, il a perdu Donnarumma. C’est fini, Luis Enrique ne verra plus Donnarumma. Mais pourquoi tu avais besoin de faire ça? Ce n’est pas comme si tu avais fait rentrer Sepp Maier ou Lev Yachine. Tu as fait entrer Safonov, l’ex gardien de Krasnodar! On en parle du but? Il a été ridicule le gars", a lance le chroniqueur.
Daniel Riolo s'en est ensuite pris plus globalement au technicien espagnol : "Ce gars-là va t’épuiser, il va finir par essorer le club parce qu’il aura une fracture avec les supporters à cause de lui. Il fait partie des entraîneurs qui épuisent et essorent un club. Mourinho fait aussi partie de ce type d’entraineurs.
Est-ce que l’idée de Luis Enrique est de toujours vouloir jouer de la même manière ou de vouloir créer quelque chose de neuf qui va surprendre l’adversaire? Ce gars déstabilise ses joueurs. Il se prend pour un grand intellectuel. Les joueurs adorent ce genre d’entraîneurs dans un premier temps parce qu’ils se sentent valorisés. Les joueurs adhèrent à ces nouveautés, aux changements de postes… Quand ça marche, comme en Ligue 1, les mecs adhèrent. Mais dès que tu joues une équipe un peu carrée, c’est fini, tu te fracasses. Surtout que cette réflexion est toujours accompagnée de ‘je n'ai pas besoin d’avoir des stars parce que mon collectif sera meilleur que les individualités'", a-t-il critiqué sur les ondes de RMC.
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