Yoann Barbet : « Si le contact me plait, je sais qu’il va se passer quelque chose, ou pas. Je sais si je vais envoyer une saucisse qui va s’élever à un mètre ou pas » | OneFootball

Yoann Barbet : « Si le contact me plait, je sais qu’il va se passer quelque chose, ou pas. Je sais si je vais envoyer une saucisse qui va s’élever à un mètre ou pas » | OneFootball

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·06 de fevereiro de 2025

Yoann Barbet : « Si le contact me plait, je sais qu’il va se passer quelque chose, ou pas. Je sais si je vais envoyer une saucisse qui va s’élever à un mètre ou pas »

Imagem do artigo:Yoann Barbet : « Si le contact me plait, je sais qu’il va se passer quelque chose, ou pas. Je sais si je vais envoyer une saucisse qui va s’élever à un mètre ou pas »

Dans le live de Cédric Yambéré sur sa chaine Twitch, l’ancien capitaine des Girondins, Yoann Barbet, a raconté avoir croisé l’actuel gardien bordelais, Lassana Diabaté, après lui avoir inscrit un but sur coup franc.

« Oui, je lui en mets un, et Pedro Diaz marque aussi. Je lui mets un coup franc à Valenciennes en fin de saison. On gagne 2-0 je crois. On n’arrivait pas à marquer, et c’est peut-être un de mes plus beaux coups francs… Et le match d’après, je le vois à Bordeaux, et on se tape dans la main, on rigole (rires). Le pauvre, il prend aussi un coup franc de Pedro Diaz pleine lucarne, il ne peut rien faire ».

Puis, l’ancien défenseur bordelais évoqua sa faculté à tirer les coups francs.


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« Les coups de pied arrêtés, c’est quelque chose que j’ai travaillé avec un spécialiste des coups francs, à Brentford. Quand je suis arrivé là-bas, je tirais vraiment les coups francs enroulés, et en fait il avait cette technique à la Juninho, avec le ballon qui monte et qui descend. Ça m’intéressait, et j’ai vachement appris avec lui. C’était vraiment très spécifique, il avait sa caméra, il la mettait deux mètres derrière le ballon. Au début, j’apprenais à tirer juste dans le but vide pour ne mettre que le ballon, puis on reculait, on mettait un mur. A la fin de la séance, il mettait sur son ordi, et on regardait toutes les vidéos, comment mon pied était placé… Quand il était placé à tel endroit, on voyait ce que le ballon faisait… C’était vraiment dans le détail. Je savais, comment était placé mon pied au moment de l’impact, si c’était un bon coup franc et si ça partait bien. Oui, aujourd’hui, je sens les choses dans l’impact du ballon… Si le contact me plait, je sais qu’il va se passer quelque chose, ou pas. Je sais si je vais envoyer une saucisse qui va s’élever à un mètre ou pas (rires). Il m’a tout envoyé, ces vidéos-là. Et des fois, quand j’ai des petits creux, je me cale sur mon canapé et je regarde les coups francs aux entrainements, ceux que j’ai mis, pour me remémorer les choses bien comme il faut. Et évidemment je continue de m’entrainer toutes les semaines. Je suis content parce que le travail paie ».

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