Real Madrid : Ancelotti encense Mbappé et fait part de gros regrets pour Thierry Henry | OneFootball

Carlo Ancelotti n'a pas manqué d'encenser Kylian Mbappé et a fait part de ses regrets pour Thierry Henry.

Élu meilleur entraîneur de l'année, Carlo Ancelotti s'est confié pour France Football. Interrogé sur les regrets qu'il a pu avoir avec certains joueurs, le coach du Real Madrid n'a pas manqué de citer Thierry Henry : "À la Juventus, j'avais Thierry Henry (en 1999). Quand il a commencé sa carrière, il évoluait ailier. Et quand il est parti à Arsenal, il est devenu un formidable attaquant, avec (Arsène) Wenger. Et moi je ne l'avais pas vu comme un buteur. Une autre erreur est de ne pas avoir fait signer (Roberto) Baggio lorsque j'étais à Parme (1996-1998). Et d'avoir vendu (Gianfranco) Zola à Chelsea quand j'étais également à Parme. Pfff, un paquet d'erreurs... (Il sourit.)" a-t-il confié.

Ancelotti n'avait pas vu Henry comme un buteur !

Questionné ensuite sur Kylian Mbappé, l'Italien ne le considère pas comme un gros ego : "Non. Absolument pas. Il est arrivé ici et s'est tout de suite bien intégré à l'équipe, à ses coéquipiers, à nouer de bonnes relations avec eux. Il est arrivé avec un état d'esprit parfait" a-t-il lancé avant de conclure sur le joueur qui l'avait le plus marqué : "Paolo Maldini. C'était un joueur spécial pour moi. Il avait été mon coéquipier, il est devenu mon capitaine. Et il m'a beaucoup aidé à Milan. Nous avions vraiment une forte relation, fantastique. "Ibra", bien sûr, avec son fort caractère, sa grosse personnalité. Généralement, les plus grands joueurs sont les plus faciles à gérer. Ils peuvent avoir un gros ego mais cela peut constituer leur motivation. Ce n'est pas un problème d'avoir un gros ego si tu prouves sur le terrain et que tu as un bon comportement. Les coéquipiers suivront et aideront. L'équipe de la saison dernière était la plus simple à entraîner parce que l'ego était bas dans le vestiaire. Les vétérans Modric, Kroos, Carvajal, Nacho, n'ont pas d'ego. Ils servaient d'exemples à tous ceux qui les avaient sous les yeux. D'un point de vue relationnel, c'était top. Aucun joueur ne se plaignait de ne pas jouer. C'était un rêve."

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