Le Petit Lillois
·19 décembre 2024
Le Petit Lillois
·19 décembre 2024
De passage en conférence de presse ce jeudi, veille du déplacement à Rouen, Bruno Genesio n’a pas caché les ambitions du LOSC, déjà prêt à ajouter la Coupe de France à son armoire à trophées.
Le 15 janvier 1917, la Coupe de France voyait officiellement le jour sous l’impulsion de Henri Delaunay. Plus d’une centaine d’années plus tard, le LOSC s’apprête à vivre sa 80e apparition en 32es de finale. Depuis sa première participation, en 1944-1945, les Dogues ne les ont manqués qu’à une seule reprise : en 1997-98. Il ne compte néanmoins pas s’arrêter à ce simple cap, désireux de vivre une épopée.
En conférence de presse ce jeudi, veille de déplacement à Rouen, Bruno Genesio a affiché les ambitions du LOSC ; « Toutes les compétitions auxquelles on participe, on se doit de les débuter avec l’envie de les gagner. Évidemment que quand on débute la Ligue des Champions, on peut avoir envie de la gagner, même si on sait que c’est semé de grands défis, sourit-il. Il faut toujours avoir ça en tête. Faire de la Coupe de France un objectif, c’est impossible parce qu’il y a énormément de choses à prendre en compte, mais on doit faire cette compétition avec l’envie de la gagner. Les deux formulations sont, à mes yeux, un peu différentes. Ce n’est pas notre objectif, mais on doit avoir l’ambition et l’envie de la gagner », lance avec conviction le technicien.
« C’est une très belle compétition, enchaîne-t-il. Ce sont des émotions instantanées, poursuit-il. Lorsque vous gagnez une Coupe de France, pour ceux qui ont connu ça, ce sont des moments inoubliables. C’est une aventure humaine entre nous qui débute souvent par des matchs difficiles, mais qui se termine au mois de mai par une finale qui est extraordinaire lorsqu’on la gagne. Évidemment que cette envie doit nous animer. Il faut débuter cette compétition avec l’envie de la gagner et c’est notamment lors de ces matchs, ceux des premiers tours, que ça doit être un élément de motivation très important dans la préparation », conclut ainsi Bruno Genesio.