Jocelyn Gourvennec détaille son projet d’aller entrainer en Allemagne | OneFootball

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·16 de maio de 2025

Jocelyn Gourvennec détaille son projet d’aller entrainer en Allemagne

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Pour Le Club des 5, Jocelyn Gourvennec, l’ancien entraineur des Girondins de Bordeaux, a évoqué son actualité, lui qui est sans club depuis son départ du FC Nantes.

« Ça va très bien. Avec de l’expérience, on arrive à mieux gérer. C’est toujours décevant de s’arrêter quand on est sur une mission, un projet. Là, c’était en cours de saison donc ce n’était pas idéal, mais c’était un choix du cœur d’aller à Nantes aussi, pour moi qui avais été joueur dans les grandes heures nantaises… De pouvoir passer après des très grands entraineurs, c’était quelque chose que j’avais en tête depuis longtemps. Après, il faut que les conditions soient réunies. Ce n’était pas optimum, ça s’est arrêté, et passé la déception, il faut toujours regarder devant. Cela fait juste un an maintenant. J’ai failli reprendre à l’intersaison dans un club de Ligue 2, ça ne s’est pas fait un peu au dernier moment. Et donc après j’ai lancé un autre projet que j’avais déjà en tête depuis un moment, celui d’aller entrainer à l’étranger et particulièrement en Allemagne. Je travaille là-dessus depuis la rentrée dernière. Pour aller en Allemagne, cela passe aussi par la langue, donc j’ai repris l’apprentissage de la langue allemande. Ma mère a grandi en Allemagne, elle est ensuite devenue prof d’Allemand en France. J’ai toujours eu un peu la culture allemande dans ma famille. Déjà joueur, je voulais aller jouer en Allemagne, et ça n’a pas été possible. Je suis resté toute ma carrière en France. En tant qu’entraineur aussi. J’aimerais bien vivre quelque chose à l’étranger, et je ne sais pas si ce sera possible, en tout cas je me donne les moyens de le faire. Je prends du plaisir à réapprendre l’allemand, car c’est un passage obligé pour les clubs. Ça me prend beaucoup de temps, j’ai des cours toutes les semaines. Et parallèlement à ça je regarde toujours beaucoup de matches, en France, à l’étranger, en Coupe d’Europe ».

Puis, il ajoute.


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« Il faut que je me fasse connaitre aussi à l’étranger. Je ne tire pas un trait sur la France, mais c’est une envie que j’ai, et quand on a un projet comme ça il faut le faire sérieusement. J’ai failli signer à Noël dans un club en Suisse et ça aurait été une étape pour une expérience à l’étranger, pour encore enrichir mon bagage. Quand on est entraineur, on a des hauts, des bas, mais ce qu’il faut, c’est rester ouvert, ne pas se renfermer, bouger… J’ai fait un séjour par mois en Allemagne pour aller visiter des clubs, voir des matches, rencontrer des acteurs du foot allemand pour bien comprendre comment fonctionne le foot allemand. J’ai maintenant une agence allemande qui me représente, c’est une obligation. J’ai 53 ans, cela fait 15 ans que j’entraine, je connais très bien la France. Je pense avoir fait de très bonnes choses et des choses que j’aurais pu mieux faire, mais j’ai d’autres envies aussi. C’est aussi une remise en question, il faut savoir se réinventer, ne pas rester dans ses habitudes de travail ».

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